Factorio combinator sur votre réseau.
Guide destiné à tous afin de connaitre les possibilités des combinateurs pour controler sa production, avoir des alertes en cas de problèmes et créer un réseau ferroviaire répondant à la demande.

Une fois toutes ses installations terminées, vous serez en mesure de connaitre vos stocks, passer des commandes d'articles à distances, détecter tout problème par votre réseau principal mais aussi contrôler vos convoyeurs.

Factorio et les combinators!! Je dis: Oui!!!

Photo à l'appui pour une meilleur compréhension de tous.
Bonjour à tous,

Nous allons traiter dans ce guide des possibilités d’obtenir des informations utiles dans un réseau filaire principal à travers un notre réseau ferroviaire dans le cas d’usine délocalisée spécifique. Nos trains fonctionneront sur demande uniquement afin de libérer le trafic. Nous pourrons par le réseau logique principal connaitre tous nos stocks mais pourrons voir rapidement s’il y a un problème sur notre réseau de production !
Puis nous apprendrons à prendre le contrôle total d’une production énergique, pétrolière, ferroviaire et de produit fini.
Nous verrons pour finir comment avoir différents affichage de ses informations.

S’il y a des correctifs que vous pouvez juger utile, je vous demanderai de m’en faire part afin de l’inclure.
Pour toutes questions, précisions, je suis à votre disposition. N'hésitez pas.


PS: Pour tous ceux qui auront laissé un commentaire, je vous ajouterai sur steam pour vous informer des mises à jour du guide. Sans cela, je ne peux connaitre votre pseudo pour pouvoir le faire. Vous pourrez aussi par ce biais me joindre pour tout problème de compréhension ou dans vos installations.

Pensez aussi à une note (les étoiles). Ceci n'étant pas pour ma gloire personnel mais pour facilité la recherche des personnes dans le besoin.


1. Le réseau logique.
Le réseau logique est la connexion d’un câble logique (rouge ou vert) permettant à des appareils intelligents interagir entre eux par des signaux différents et de valeurs différentes.

Nous avons deux catégories de réseau. Le principal et les secondaires.

Le réseau logique principal aura plus pour mission de transmettre toutes les informations et pour des systèmes logiques simples sans réel influence avec les signaux.

Les secondaires seront utiles pour des systèmes complexes mais aussi pour des systèmes simples dont leurs fonctionnements pourraient perturber le réseau principal ou inversement. Nous devrons donc isoler certains signaux des autres d’un réseau avant de les introduire sur un autre réseau.

Ces réseaux nous permettront de contrôler, améliorer tout appareil intelligent dans leur fonctionnement de base voir même de résoudre certains problème lié à leur fonctionnement.

En somme nous allons prendre un contrôle absolu sur tout ce qui se passe dans notre usine.

Mais pour commencer apprenons les bases simples.
1.1. les connaissances de base.
Qu’est-ce qu’un signal ?

Pour cela, je suis allé chercher la définition sur le Larousse et j’ai pris celle approprié.

Variation d’une grandeur physique de nature quelconque, transportant de l’information et grâce à laquelle, dans une installation, un élément en influence un autre.

Dans « Factorio », les signaux seront toutes les marchandises disponibles mais nous aurons aussi à disposition les chiffres de 0 à 9, l’alphabet et un certain nombre de couleur. Je parle bien de signal et non de la valeur du signal pour les chiffres.

Je peux donc avoir le signal « 1 » et la valeur 1. Ils seront bien différents et j’utiliserai à travers tout ce guide toujours des guillemets pour les signaux alors que je n’en mettrais pas pour les valeurs.
Nous aurons aussi des signaux particuliers regroupant plusieurs signaux.



Dans l’ordre, « Tout », « N’importe quoi », « Chaque ».

Tout (Astérix rouge) :
En entrée d’un appareil, il aura la fonction d’un « ET ». Il faudra que tous les signaux qu’il reçoit soit vrai par rapport à la condition.
En sortie, tous les signaux entrant seront appliqué si la condition est vraie.

N’importe quoi (Astérix vert) :
Il ne s’utilise qu’en entrée d’un appareil et aura la fonction d’un « OU ». N’importe quel signal dont la condition sera vraie activera l’appareil.

Chaque (Astérix jaune) :
En entrée, ce signal signifie que chaque signal sera traité de manière séparé et activera l’appareil si la condition est vraie.

En sortie, ne sera utilisable que s’il est également en entrée. Il enverra donc tous les signaux de manière séparé qu’il recevra.

Le signal est transporté par la connexion d’un appareil intelligent à un autre via les poteaux électrique ou non par un câble logique (rouge ou vert).

Pour établir une connexion, il nous suffit de prendre un câble et de relier les deux appareils entre eux. La même opération sur une connexion déjà existante aura pour effet de déconnecter le câble (cela fonctionne aussi pour les fils de cuivre).

Si ces derniers sont trop éloignés, nous pouvons nous servir des poteaux électriques. Si un fil de cuivre se connecte entre deux poteaux, le câble logique peut le faire. La taille du poteau aura donc une influence sur la distance du câble.

Nous avons un câble logique rouge et un vert. Cela nous permet d’avoir sur notre réseau, deux canaux différents pour transporter des signaux communs mais de valeurs différentes.

Cependant en connectant ces deux câbles logiques qui envoient chacun signal commun à un appareil, ces deux signaux s’additionneront. Par exemple j’ai sur le canal rouge, le signal « Plaque de fer » = 30 (sa valeur) et sur le canal vert le même signal « Plaque de fer » = 90. L’appareil recevra leur addition soit « Plaque de fer » = 120.

Nous pourrons par le biais des poteaux électrique visualiser tous les signaux de ces deux canaux connectés. Le canal rouge sera toujours situé au-dessus du canal vert.



Sur le réseau principal, nous nous servirons donc du canal rouge pour transmettre des ordres, des alertes (car peu nombreux), du canal vert pour les stocks (170 marchandises). Si nous avions utilisé les stocks sur le canal rouge, ils auraient par leur nombre effacé le canal vert de la visualisation.

Le traitement d’une ou plusieurs informations s’appelle « Condition ».

Nous pouvons à présent parler des différentes catégories d’appareils intelligents.
1.2. Les appareils intelligents.
Nous avons différentes catégories appareils intelligents :
Ceux qui recevront les signaux dans le but de faire une action. Les passifs.
Ceux qui émettront les signaux dans le but de commander une action à autrui. Les actifs.
Ceux qui peuvent faire les deux indépendamment ou pas. Les réversibles.

Bien souvent nous ne nous apercevrons pas qu’ils sont des appareils intelligents tant que nous ne les auront pas connectés à un câble logique.
1.2.2 Les appareils intelligents passifs
Les appareils dits passif feront toujours l’action qui leur est demandé par le traitement de ou des informations qu’ils recevront. Ils n’auront aucune influence sur d’autre appareil.

Ils auront tous la même interface de traitement, leur condition de fonctionnement comme sur la première photo.














Nous pourrons changer le signe « > » par « < » ou « = ».
Nous pourrons introduire un premier signal dans la premier case.
Dans la deuxième case, nous pourrons mettre un nombre ou un second signal.

Voici la liste de ces appareils :

La pompe côtière.


Rien de spécial le concernant.

La petite pompe.


Rien de spécial le concernant.

Le commutateur d’alimentation électrique.


Sous ce nom barbare se cache le coupe-circuit électrique. Sans connexion logique, nous pouvons manuellement basculer son mode de fonctionnement.

La lampe.


La lampe possède un mode de fonctionnement supplémentaire. Elle peut utiliser le signal d’une couleur pour se teinter lorsque la condition est vraie et ce même si les signaux de la condition sont différents de la couleur.

Si plusieurs couleurs sont à son entrée, elle adoptera la couleur dominante.



La couleur dominante se trouve toujours le plus à gauche. Concernant les deux dernières couleurs à droite à savoir le gris et noir, elles ne feront qu’allumer la lampe comme la couleur blanche.
1.2.2. Les appareils intelligents actifs.
Les appareils dits actif émettront un signal en vue d’influencer un autre appareil. Pour la plupart ce sera leur contenu qu’ils émettront sous forme de signal. La marchandise étant le signal et la valeur du stock, la valeur du signal.

Nous retrouvons par conséquent la citerne et tous les coffres (exception du coffre logistique de demande).



Leur mode de fonctionnement sera uniquement la lecture du contenu.



L’accumulateur.


L’accumulateur peut émettre la charge qu’il possède suivant une valeur allant de 0 (vide) à 100 (plein charge).
Nous pourrons changer le signal de sortie. Par défaut c’est « A ».

Le robotport.


Le robotport collecte tous les stocks des coffres logistiques (exception du coffre logistique de demande) sous son réseau qu’il émettra sous forme de signal et valeur du signal.

Il a aussi un deuxième mode de fonctionnement mais ne peut avoir les deux.



Dans ce mode, il émettra les différents stocks des différents robots contenu dans le réseau logistique. Il nous est possible de changer le signal de chacun.

L’émetteur constant.



L’émetteur constant peut-être vu comme un coffre virtuel mais il peut envoyer tous les signaux de marchandises, chiffre de 0 à 9, alphabet et couleur et de valeur positive ou négative. Il posède 15 emplacement pour cela. Nous pouvons aussi le rendre inactif en basculant manuellement son mode de fonctionnement.

1.2.3. Les appareils intelligents réversibles.
Les appareils réversibles possèdent les mêmes caractéristiques que les appareils passifs et actifs.
Ils peuvent donc recevoir des signaux en vue d’une action de leur part mais aussi en émettre pour influencer d’autre appareil.

L’arrêt de train.


Bien qu’il n’influence pas le réseau logique, j’ai tenu à le mettre dans cette catégorie. Il n’a le rôle en fait que de transmetteur. Sa connexion influencera le départ d’un train seulement.

Le signal ferroviaire.














Le signal ferroviaire émettra le signal de la couleur de son feu en mode « Lire la couleur du feu ». Il nous est possible de changer le signal d’émission de la couleur du feu.

Il peut cependant en ayant coché la case « Passer le feu au rouge » recevoir des signaux pour une condition de passage au rouge.

Les deux modes peuvent être activés en même temps.

Le coffre logistique de demande.



Etant un coffre, il émet son contenu mais en basculant son mode de fonctionnement, il ne fera qu’émettre au réseau logistique les demandes donné par les signaux logiques de marchandises.

La porte.














Toute seul la porte ne peut servir au réseau logique. En la collant à un mur, un voyant rouge apparait sur ce dernier. C’est à cette endroit que nous pourrons connecter le réseau logique.

Le menu logique de la porte a deux modes de fonctionnement qui peuvent être activé en même temps ou pas. Dans le mode « ouvrir la porte », nous pourrons en contrôler la condition d’ouverture.

Dans le mode « lire le capteur », seul l’ouverture de la porte émettra un signal « G » par défaut.

Les bras robotisés.



Tous les bras robotisés peuvent recevoir des signaux en vue d’une activation par le traitement d’une condition. Le mode « Activer/Désactiver ».



En cochant la case « Lit le contenu du bras robotisé », le bras deviendra aussi un émetteur. Il est possible d’en faire seulement un émetteur sans condition d’activation en basculant en mode « Aucun ».



En mode de lecture « Unique », le bras robotisé enverra le signal de la marchandise à l’instant où le bras prendra cette dernière. Cependant le signal sera tout de suite interrompu.
Alors qu’en mode de lecture « Continu », il enverra le signal tant qu’il ne l’aura pas déposé.

Il existe un dernier mode. Il ne concerne que les bras robotisé filtrable.



En basculant sur le mode « Définir des filtres » nous supprimons la condition d’activation. Cependant la lecture du contenu du bras reste possible.

Ce nouveau mode permet d’ajouter bien plus de filtre possible que les cases disponible normalement. Nous pourrons donc contrôler les marchandises que nous voulons qu’il s’occupe via le réseau logique.

Les convoyeurs.
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Les convoyeurs peuvent en mode « Activer/Désactiver » bloquer des marchandises si la condition d’activation est fausse.

Ils peuvent aussi en mode « Lit le contenu du convoyeur » émettre le signal de la marchandise.

En mode de lecture « Unique », il émettra le signal de la marchandise à l’entrée du convoyeur uniquement.
En mode de lecture « Continu », il émettra le signal tant que la marchandise sera sur son tronçon.

Les modes « Activer/Désactiver » et « Lit le contenu du convoyeur » peuvent être activé en même temps.

Le calculateur.


















Comme son nom l’indique, le calculateur est fait pour ce dont il est appelé. Addiction, soustraction, multiplication, division.

Il est un élément incontournable dans les système complexe des réseau logique.

Il pourra même faire plusieurs calculs en même temps avec « Chaque » à son entrée. En faire l’addition à sa sortie ou en donner des résultats diférents pour chauqe signal reçu si nous lui mettons « Chaque » également à la sortie.

Le comparateur.




















En anglais, il s’appelle « Decider », traduit cela donne « Décider ». Il sera un incontournable des systèmes complexes des réseaux logiques. Il est le plus difficile à maitriser tant ces capacités sont grandes.

La case « 1 » au lieu de « Compteur d’entrée » sera pour avoir un signal binaire ou pour créer un signal qu’il ne reçoit pas.

Il pourra faire plusieurs comparaisons en même temps.

Il y a tant à dire à son sujet que l’on devrait faire un guide juste pour lui pour en expliquer toutes les possibilités mais je ne m’étendrais pas d’avantage ici.
1.3. Les contrôles logiques.
Avec le réseau logique, je vous l’avais annoncé, nous allons prendre le contrôle de beaucoup d‘installation au sein de l’usine.

Nous allons pouvoir donc régler certains problèmes de fonctionnement et améliorer certain fonctionnement de base à notre avantage.

Nous pourrons également contrôler entièrement nos productions et avoir des alertes liées à ces dernières.
1.3.1. Contrôle des turbines à vapeur.
Les turbines à vapeur sont notre première source d’électricité en début de jeu (une pompe, 14 chaudières, 10 turbines à vapeur pour 5MW) mais avec le temps, nous avons la possibilité d’installer de l’énergie propre, les panneaux solaires. Bien entendu, il fonctionne avec les rayons du soleil. Fort heureusement nous pouvons emmagasiner l’énergie pour la restituer durant la nuit avec les accumulateurs (avec le ratio Nombre d’accumulateur diviser par Nombre de panneaux solaires = 0,84). Cependant nous n’exploitons jamais la pleine charge de ces derniers. Les turbines continuant à tourner à plein régime pour subvenir aux besoins de nos usines, continuent donc de polluer et empêchent le bon fonctionnement des accumulateurs. Avec la logique, nous pouvons prendre le contrôle des turbines à vapeur via les pompes côtières.

Je vous rappelle qu’en connectant un câble logique à un accumulateur, ce dernier envoie un signal « A ». Sa valeur peut varier de 0 (pas de signal, pas de charge) à 100 (charge max). Nous avons donc un pourcentage que nous allons pouvoir exploiter.



Positionnons donc un accumulateur près de nos pompes côtières et connectons-le à l’entrée d’un comparateur. La sortie de ce dernier sera connectée à la pompe côtière.













Comparateur :
Paramètres : « A » < 20.
Sortie : A (cocher 1).

Pompe cotière :
Condition d’activation : A > 0.

Lorsque la charge de l’accumulateur descendra en dessous de 20%, le comparateur émettra « A » en sortie qui aura pour effet d’activé les pompes.

Nous venons de créer un interrupteur mais nous avons un petit soucie. Admettons que que les pompes démarrent donc les turbiens aussi et vont recharger les accumulateurs qui dépasseront le seuil des 20. Les pompes seront de nouveau désactivé, les turbiens aussi mais les accumulateurs se déchargent de nouveau réactivant le tout. Nous allons donc avoir pour la nuit un effet yoyo des turbines. Ce n’est pas qu’elles vont casser mais autant les démarrer jusqu’à ce que les accumulateurs soient bien chargé et empêcher cette effet yo-yo. Nous n’avons pas cependant besoin d’une charge complète. Ca serait bien que les accumulateurs puissent reprendre leur role avant le levé du soleil.

Nous allons ajouter un calculateur à notre précédent montage. Il sera relier à sa sortie à l’entrée du comparateur et à son entrée à la sortie du comparateur.



Calculateur :
Entrée : « A » x (-10).
Sortie : « A ».

Lorsque les accumulateurs seront en dessous de 20%, le comparateur émettra son signal donc la pompe côtière démarre. Le signal « A » (valeur 1) entrera aussi dans le calculateur. A la sortie du calculateur, nous aurons donc « A » (valeur -10). Donc le comparateur recevra d’une part la valeur « A » de l’accumulateur et la valeur (-10) du calculateur. Il va donc croire que l’accumulateur est 10% moins chargé qu’il ne l’est en réalité. Ceci laissera le temps au accumulateur de se recharger correctement pour éviter cet effet yo-yo.

A 30% de charge réelle, le comparateur recevra lui 30 – 10, soit 20. Il ne sera plus dans sa condtion émission. Il émettra plus « A » en sortie qui fera disparaitre le signal du calculateur à son entrée.

Le tour est joué.
1.3.2. Contrôle pétrolier.
Nous avons avec l’exploitation du pétrole plusieurs liquide et un gaz qui nous serons utile.

Le pétrole lourd utile dans sa transformation en lubrifiant et en pétrole léger.
Le pétrole léger utile dans sa transformation en gaz pétrolifère.
Le gaz pour le plastique et le soufre.

Nous avons donc différentes réservoir qu’il faut maintenir de certaines quantités indépendamment des autres. De plus les uns peuvent influencer les autres. Sans avoir fait au préalable de bon calcul de production, nous avons souvent un excèdent dans un liquide.

Pour 5 raffineries de raffinage avancé, nous aurons donc :
1 usine de produit chimique de craquage Pétrole lourd/Pétrole léger.
5 usines de produit chimique de craquage Pétrole léger/Gaz pétrolifère.

Nota: Ces calculs ont été effectué sans module.

Ceci aura pour effet de pouvoir craquer complètement nos différentes productions de pétrole en Gaz mais nous ne ferons aucune réserve, ni ne produirons de lubrifiant.

Nota : Un réservoir = 2500.

Ce n’est pas ce que nous désirons. Nous voulons pouvoir faire des stocks différents de chaque liquide. Nous voulons aussi que notre installation puisse n’avoir qu’un seul réservoir de chaque liquide. Pas plus. Cela serait inutile. Suffit d’avoir assez de raffinerie, craquage divers pour produire suffisamment pour nos besoins.

Pour comprendre la suite, je vais partir sur une exploitation du pétrole en excluant la production des munitions pour lance-flamme.

Dans l’ordre des choses, nous avons besoin de lubrifiant donc nous avons besoin d’une réserve de pétrole lourd. Il sera craqué en lubrifiant si besoin. Cependant l’excédent peut être craqué pour subvenir au besoin et ainsi éviter que les raffinerie ne s'arrête par excés de pétrole lourd.

Pour le pétrole léger, nous n’en avons pas besoin (excepté les munitions pour le lance-flamme) donc nous n’avons besoin de réserve que si notre gaz en fait. Aussi non, il est préférable de le craquer tout de suite pour aider nos productions ayant besoin de beaucoup de gaz.

Maintenant que vous avez compris mon raisonnement (j’utilise une petite production pétrolière indépendante de la production principale pour les productions militaires. Je suis en délocalisé totale), passons au montage.

Dans un premier temps, je connecte sur le même réseau logique secondaire tous les réservoirs dont j’ai besoin, soit le lubrifiant, le pétrole lourd et léger, le gaz pétrolière.



Sur cette explication, nous utiliserons les commutateurs d’alimentation électrique pour couper les secteurs dont nous ne désirons pas leur fonctionnement. Du fil de cuivre sera donc nécessaire. N’oublions pas que pour connecter ou déconnecter une liaison électrique, il nous suffira de faire une connexion entre deux installations avec ce fil.

Occupons-nous du craquage du pétrole lourd en lubrifiant. Je n’ai pas besoin d’avoir mon réservoir rempli à ras le bord. De plus pour la fonction du système, j’ai même besoin qu’il ne dépasse pas une certaine limite.

Positionnons donc un commutateur à côté de l’usine de produit chimique occupé à craquer le pétrole lourd en lubrifiant et connectons le avec le câble de notre réseau logique de réservoir.



Commutateur d’alimentation électrique :
Condition d’activation : « Lubrifiant » < 2,3K (soit 2300).

Nous remarquerons que nous avons bien fait attention à la connexion des fils de cuivre pour que le commutateur puisse faire son travail. Il alimentera le secteur qu’une fois le niveau du lubrifiant sera en dessous de 2300.

Passons à présent au pétrole lourd. Nous avons besoin de réserve mais une fois de plus remplir le réservoir serait inutile aussi. Nous garderons la même limite cependant que notre réservoir de lubrifiant. Installons donc un autre commutateur à côté de l’usine de produit chimique s’occupant du craque du pétrole lourd en léger et connectons le aussi au réseau logique des réservoirs.



Commutateur d’alimentation électrique :
Condition d’activation : « Pétrole lourd » < 2,3K (soit 2300).

Il alimentera le secteur qu’une fois le niveau du pétrole lourd sera au-dessus de 2300.

A présent le craquage du pétrole léger en gaz pétrolifère. Positionnons un autre commutateur à côtés des usines de produit chimique s’occupant du craquage du pétrole léger en gaz et connectons le aussi au réseau logique des réservoirs.



Commutateur d’alimentation électrique :
Condition d’activation : « Pétrole léger » > « Gaz pétrolifère ».

Nous remarquerons une fois de plus que nous avons bien fait attention à la connexion des fils de cuivre pour que le commutateur puisse faire son travail. Il alimentera le secteur que lorsque le niveau du pétrole lourd dépassera celui du gaz pétrolifère. Par conséquent, si nous avons besoin de gaz, son niveau descendra qui aura pour effet d’activer le craquage de léger en gaz. A l’inverse, une fois que le gaz fera des réserves, le pétrole léger en fera lui aussi. C’est un excellent moyen pour avoir un boost approvisionnement en gaz et à l’inverse de faire des stocks des deux.

Cependant nous ne contrôlons pas le réservoir de gaz. Ceci n’est pas un problème mais nous allons par sécurité le faire. Admettons que nous n’ayons plus besoin de la production de gaz mais qu’au contraire nous ayons besoin de beaucoup de lubrifiant, il nous faut reproduire du pétrole lourd mais si notre réservoir de gaz est plein, les raffineries refuseront de produire. Il nous faut donc une marge pour le gaz. Il nous faut donc arrêter les raffineries pour qu’elles ne remplissent pas le gaz.

Par sécurité, nous allons jauger tous les réservoirs et l’inclure dans leur limite de production. N’oublions pas que nous n’avons pas inclus la cuve de pétrole brut dans le réseau des réservoirs.

Installons donc un dernier commutateur relier à notre réseau logique à côté des raffineries.



Commutateur d’alimentation électrique :
Condition d’activation : « Tout » > 2,4K (soit 2400).

Le commutateur recevra tous les niveaux des réservoirs. Tant que « Tout » les signaux qu’il reçoit seront inférieurs à 24000, il sera actif. A l’inverse si un réservoir dépasse les 2400, le « Tout » ne sera plus valide car il faut considérer le « Tout » comme étant un « Et » de tous les signaux qu’il reçoit.

Nous avons à présent un contrôle absolu sur notre production pétrolifère.

Astuce : Un réservoir de pétrole brut peut contenir 2 500 unités et prend une place sur le terrain de 3 x 3 cases.
Un coffre peut contenir 48 piles de 10 barils et un baril contient 25 unités de pétrole brut. Nous avons donc 12 000 unités de pétrole brut stocké. Un coffre peut donc contenir l’équivalent de 4,8 réservoirs pour seulement 1 x 1 case.
Je vous conseille donc fortement de stocké votre pétrole dans des coffres pour un gain de place et de vider seulement vos barils suivant vos besoins immédiat.
1.3.3. Contrôle des convoyeurs
Nous avons besoins de marchandise tout au long de nos usines. Construire nos productions le long d’un seul convoyeur serait quasi impossible. Il nous faut donc des séparateurs pour emmener les marchandises aux quatre coins de notre usine. Cependant nous allons créer dans certains cas des manques de ressource dans d’autre cas, nous avons besoins de prioriser une production.

Nous allons donc prendre le contrôle des convoyeurs pour régler ces problèmes de fonctionnement basique des séparateurs et convoyeurs par différent système.

Priorité sur simple convoyeur

Dans certains cas, nous avons besoin de priorisé un convoyeur plus qu’un autre. Malheureusement le séparateur fait partir la moitié des marchandises qu’il reçoit sur l’un et l’autre convoyeur.
Nous pouvons forcer le passage sur un seul convoyeur et une fois ce dernier plein, laisser le surplus sur le deuxième passer.

Pour ce faire nous allons positionner trois séparateurs comme sur la photo qui suit.



La flèche verte représente le convoyeur que nous voulons prioriser.

Nous allons ensuite connecter avec un câble, les deux convoyeurs se situant entre les deux séparateurs.



Mode de fonctionnement :
« Activer/désactiver » décoché.
« Lit le contenu du convoyeur » coché.

Mode de lecture du convoyeur :
« Continu » coché.

Ils auront pour but de donner pour information leur contenu.

Nous allons ensuite les relier au convoyeur que nous désirons bloquer.



Mode de fonctionnement :
« Activer/désactiver » coché.
« Lit le contenu du convoyeur » décoché.

Condition d’activation :
« N’importe quoi » > 15.

Sur chacun des convoyeurs d’entrée du priorisé, nous pouvons avoir 8 marchandises. Dès qu’ils seront pleins soit 16 marchandises, le convoyeur de blocage laissera passer les marchandises.



Nous remarquerons le changement de couleur de la diode situé sur le convoyeur de blocage.

Priorité sur double convoyeur

Dans certains cas, nous avons pour nos besoins plusieurs convoyeurs d’une même marchandise cote à cote. Cependant au fil des productions adjacentes, certains convoyeurs extérieurs se retrouvent vite avec peu de marchandise alors que son voisin, lui en possède toujours autant. Nous positionnons alors des répartiteurs pour corriger le manque. Cependant nous ne savons plus si nous produisons assez de cette marchandise. Nous pouvons installer un système qui forcera toutes nos marchandises à aller sur un seul convoyeur et qui laissera passer sur le second convoyeur le surplus de production. Nous serons donc capables d’alimenter convenablement nos productions adjacentes mais nous serons aussi si nous produisons assez pour le reste de nos productions.

Juste avant un séparateur, nous allons connecter les deux convoyeurs cote à cote entre eux.



Mode de fonctionnement (pour les deux convoyeurs) :
« Activer/Désactiver » décoché.
« Lit le contenu du convoyeur » coché.

Mode de lecture du convoyeur :
« Continu » coché.

C’est deux convoyeurs auront pour mission d’informé leur contenu.

Ensuite nous leur connectons le convoyeur que nous désirons bloquer.



Mode de fonctionnement :
« Activer/désactiver » coché.
« Lit le contenu du convoyeur » décoché.

Condition d’activation :
« N’importe quoi » > 15.

Sur chacun des convoyeurs d’entrée du séparateur nous pouvons avoir 8 marchandises. Dès qu’ils seront pleins soit 16 marchandises, le convoyeur de blocage laissera passer les marchandises.



Trieuse intelligente

Nous avons besoin dans certain cas de trier les marchandises sur un convoyeur. Cependant si l’affluence des marchandises est abondante notre simple bras robotisés filtrable ne peut faire convenablement son travail. Nous pouvons certes mettre plusieurs bras robotisés les uns à côté des autres pour essayer de gérer cette abondance mais il peut arriver qu’une marchandise passe au travers du trie. Nous allons d’une part n’utiliser qu’un seul bras mais faire en sorte que le convoyeur s’arrête le temps que les marchandises ne soient pas récupérées. Bien entendu ce système bloquera aussi les marchandises autres que celle du trie mais uniquement dans le cas où le trie doit se faire. Dans l’autre cas, elles passeront sans problème.

Pour ce faire nous allons connecter notre bras robotisés filtrable au convoyeur sur lequel il devra récupérer la marchandise de trie puis à un émetteur constant.



A présent mettons les conditions du convoyeur.



Mode de fonctionnement :
« Activer/Désactiver » coché.
« Lit le contenu du convoyeur » coché.

Condition d’activation :
« Continu » coché.

Son but sera de laisser passer les marchandises, si leur valeur est inférieure à 0.

Passons au bras robotisés filtrable.



Mode de fonctionnement :
« Définir des filtres » coché.

Son but sera de prendre toutes les marchandises de valeur supérieure à 0. Il pourra donc prendre 15, 20, 30, etc. marchandises différentes car c’est le convoyeur qui lui enverra l’information.

Pour finir l’émetteur de constante.



Ici dans l’émetteur, nous y mettrons les marchandises qui ne doivent pas être trié. Sur cette photo, le fer passe. Nous réglerons la valeur sur -10.

Lorsque le Fer arrivera sur le convoyeur (sur un convoyeur, nous avons 8 marchandises maximum), le signal étant toujours négatif du à l’addition des marchandises moins la valeur de la marchandise dans l’émetteur de constante, le convoyeur le laissera passer. Hors avec une marchandise dont la valeur (-10) n’est pas émise par l’émetteur de constante sera strictement bloquer et récupérer par le bras robotisé filtrable.

1.4. Les stocks sur le réseau.
Combien de fois vous êtes-vous déplacer jusqu’au coffre d’une marchandise pour vous apercevoir que vous n’aviez pas le compte désiré voir même qu’il était en manque ?

Nous pouvons par un moyen simple garder un œil sur tous les stocks d’une usine. Pour cela rien de plus simple. Avec un câble vert, nous allons connecter tous les coffres de l’usine entre eux.



Pour visualiser les stocks nous n’aurons qu’à regarder un poteau y étant connecté. Nous pouvons aussi visualiser ces stocks sur le réseau logique principal par l’intermédiaire d’un isolateur. Les stocks d’une usine délocalisé pouvant influencer le prochain système que nous allons installer « Les limites de production ».
Pour isoler les stocks vers le réseau logique un calculateur fera le travail.



Venant du réseau secondaire les stocks de l’usine. Sur le réseau principal, les stocks de toutes les usines délocalisées.
1.5. limite de production.
Jusqu’à présent nous avons vu qu’il était possible d’avoir différent contrôle mais nous n’en avons pas fait concernant la production. Nous pouvons sur le réseau logique secondaire (celui de l’usine) créer une limite de toutes les marchandises fabriquées dans cette dernière.

Pour créer la limite, nous allons prendre un émetteur de constante que nous allons relier à un poteau électrique par un câble logique rouge. Ce câble donnera la limite de production et sera connecté aux bras robotisés ou convoyeurs que nous voulons contrôler.



Sur cette photo, nous n’avons que 4 limites dans l’émetteur constant et il ne contrôlera que ces 4 usines d’assemblages de l’usine.
Pour que les bras robotisés de cette exemple sachent si ils doivent s’actionner ou pas, il leur faut une différence entre la limite et les stocks.
Nous allons installer un calculateur qui ajoutera les stocks sur le câble de contrôle, le rouge afin de créer cette différence. Il aura donc en entrée un câble vert et en sortie, un câble rouge.



Entrée : « Chaque » x (-1).
Sortie « Chaque ».

Le signe « négatif » que nous avons ajouté dans la multiplication du signal, nous sert à créer la différence dans l’addition des deux informations sur le câble rouge.

Si cette différence est positive, nous devons produire. Si nul, nous avons atteint la limite. Si négative, nous avons trop produit.

Il nous reste donc à mettre la condition des bras robotisés dans mon exemple.



Condition d’activation :
« Marchandise » > 0.

Comme je l’ai expliqué juste avant, s’il nous faut produire, la différence entre la limite et les stocks est positive. Il faut donc que le bras robotisés soit actif si le signal est positif.

Nous pouvons aussi contrôler la limite sur des convoyeurs.



Ici, nous avons arrêté une production de poste électrique.
Nous pouvons aussi contrôler plusieurs bras robotisés d’une même production.



Ici, tous les bras robotisés s’arrêteront au même moment.



Sur cette photo ci-dessus, nous pouvons voir qu’il nous reste 4 usines de production chimique à fabriquer alors que les autres limites ont disparu car un signal égal à zéro est absent.

Nous pouvons bien sur étendre à toute une usine.



Sur cette dernière photo, nous avons 75 limites de marchandise différente sur une usine. Nous n’avons besoin que d’un seul calculateur pour créer la différence du contrôle.

Je vous ai parlé d’une surproduction (une différence négative entre la limite et les stocks). Ceci peut survenir lorsque nous utilisons des convoyeurs après la production pour atteindre le coffre où sera prise l’information du stock de la marchandise. Le temps que la marchandise parcourt la distance pour atteindre le coffre, une autre marchandise peut être produite.

Nous pouvons régler ce problème en contrôlant les stocks des convoyeurs et en l’ajoutant au câble du stock du coffre.



Je vous assure cependant que ce montage est inutile. Une petite surproduction n’est pas un problème en soit.
2. Le réseau ferroviaire.
Si au début les ressources sont proches, elles seront par contre de plus en plus éloignées avec le temps. Nous pouvons conserver les convoyeurs mais cela reste des plus couteux et peu rapide finalement. Les trains sont la solution. Rails peu couteux. Capacité de chargement accrue. Rapidité de transport.

Plus nous aurons de trains, plus nous devrons avoir de voies pour les faire circuler. Nous devrons donc préparer un réseau ferroviaire.
2.1. Les connaissances de base.
Pour bien appréhender le guide il m’est nécessaire d’apporter les connaissances de base de « Factorio ».
Certaines seront des astuces d’autres de réelle connaissance à acquérir. Il sera à vous d’en juger.

Je commencerai donc par la pose des rails de chemin de fer.
2.1.1. Les rails.
Pour se faire la pose d’un rail de départ est nécessaire. En prenant un rail de notre inventaire et en mettant le curseur « rail droit » sur notre terrain, il prendra la couleur verte. En pressant la touche « R » (faire tourner dans les options de raccourci), nous pourrons au préalable envisager son orientation pour la pose. Un simple clic gauche le positionnera définitivement sur le terrain.



























Une fois la pose de ce premier rail effectué, nous aurons une nouvelle option disponible sur ce dernier.

En positionnant le curseur avec un « rail droit » (rail droit dans la main) sur celui posé au préalable une flèche apparaitra. Elle désignera le sens de pose des rails suivant.



Avec un clic gauche, nous pourrons avoir l’image verte du rail. Nous pourrons également le faire pivoter pour obtenir une courbe. Un autre clic gauche posera les rails sur le terrain.




Cette méthode sera très utile pour créer des bifurcations. En effet en plaçant le curseur sur un rail déjà en place et en utilisant la flèche nous pourrons faire partir la voie dans un autre sens que celle déjà posée.













Un second clic gauche posera la voie de manière définitive comme précédemment.

Il existe une autre méthode pour poser des rails. La pose virtuelle.
Pour se faire nous partons de cette flèche sur un rail mais au lieu de faire un simple clic gauche, nous ferons un « Shift + clic gauche ». Nous verrons un rail vert de nouveau apparaitre mais bien plus long.



Cependant la pose avec clic gauche ne sera qu’une image. Cette dernière sera pour la construction via robotport (personnel ou pas) mais nous pourrons l’utiliser pour ensuite poser les vrais rails avec ce repère si nous n’avons pas de robotport disponible.



Cette astuce sera très utile pour faire des jonctions de voies sans point de repère. En effet il est parfois difficile de faire des jonctions. L’ajustement pour la jonction n’est pas aisé sans repère. De plus cela nous permettra d’effacer rapidement l’image si cela ne convient pas sans utiliser la pioche. Economie de temps et de ressource donc.

Nota : Avec robotport personnel ou pas, il nous sera plus facile pour traverser une forêt car seule les arbres gênant la construction seront supprimer par les robots.
2.1.2. Les arrêts de train.
Les arrêts de train sont nécessaires pour qu’un train puisse avoir une station où s’arrêter. En plaçant le curseur « Arrêt de train » (un arrêt de train dans la main), nous aurons plusieurs choix possible.

En plaçant le curseur sur la voix, le curseur sera rouge signalant qu’il lui est impossible d’être posé.



En plaçant le curseur sur le côté de la voie, le curseur d’arrêt de train devient vert offrant la possibilité d’être posé.



Nous pouvons aussi observer que plusieurs autres indications sont apparues également.

Les carrés verts sont la pose possible pour l’arrêt de train. Nous pouvons donc choisir de le positionner d’un côté ou de l’autre de la voie.

Les flèches jaunes représentent le sens dont le train doit arriver pour s’arrêter à cet arrêt. Un mauvais positionnement de cet arrêt peut créer le message « aucun chemin d’accès » mais nous verrons avec les signaux ferroviaires que nous obtiendrons aussi ce message si ces derniers sont mal positionnés.

La représentation des rectangles blancs est pour délimiter l’emplacement de la locomotive à vapeur et/ou des wagons de marchandises. Cela nous sera utile pour installer correctement les bras robotisés pour le chargement ou déchargement des wagons de marchandises.

Une fois l’arrêt de train en place, nous avons des options disponibles en faisant un clic gauche du curseur (main vide).



Nous voyons déjà le nom de l’arrêt « Jason C Rogers » (nom aléatoire du jeu) que nous pourrons changer à loisir en utilisant le symbole du crayon.



Ici sur cette photo ci-dessus dans la case blanche l’opportunité de changer le nom de l’arrêt.
Dans l’encadrer noire, la liste des stations présentes sur tout le réseau ferroviaire. En effet, il est possible de prendre le même nom pour des stations. Le train sera assez intelligent pour aller au second arrêt si le premier est déjà occupé. Bien entendu à condition d’avoir mis correctement les signaux mais nous en parlerons plus tard.

La flèche noir sur fond gris sera pour valider notre choix de nom d’arrêt de train.

Le second choix que nous avons est une espèce de trident inversé à côté du crayon.



Il s’agit du réseau logique. Qu’est-ce que c’est ? Le réseau logique est l’utilisation des câbles rouges et verts, calculateurs, comparateurs, émetteurs constants. Par ce biais, nous pourrons avoir des informations que nous pourrons transmettre au train.

Si nous faisons un clic gauche dessus nous nous apercevons que nous ne sommes pas connectés.



Pour résoudre ce problème, il nous suffit de connecter un fil rouge ou vert à notre arrêt. Sur la photo qui suit j’ai utilisé un poteau électrique et j’ai connecté un câble vert du poteau à l’arrêt (cela fonctionne aussi en faisant l’inverse). Ceci est juste pour la démonstration.



La case mode de fonctionnement avec la croix « Envoyer au train » nous est utile pour donner des conditions logiques d’attente au train qui s’arrêtera à cet arrêt mais nous en parlerons plus tard.

Pour finir en attitrant un train à cet arrêt (voir configuration des trains) nous avons des nouvelles indications qui apparaissent.



Sur la photo de droite, le train qui peut s’arrêter à cet arrêt est en manuel.
Sur la photo de gauche, le train est en automatique et il y a la liste de ses arrêts possible.
L’arrêt en jaune précédé d’un point veut dire que le train est à l’arrêt de train « Sora Hjort » dans le cas présent. Une flèche précédant le nom d’un arrêt de train en jaune voudra dire qu’il est en chemin pour cet arrêt.

Nous avons aussi une mini carte sur laquelle nous pouvons voir d’une part notre train sur le réseau ferroviaire mais également y faire un clic gauche pour y changer directement les trajets et conditions du ou des trains attitrés à cet arrêt.
2.1.3. Les signaux.
Tant que nous n’avons qu’un train sur une voie, nous n’avons pas besoin de signaux ferroviaires. Cependant si nous avons deux voies différentes qui se croisent avec des trains différents ou simplement deux trains empruntant un tronçon de voie commune, nous sommes obligé d’installer des signaux ferroviaires afin de ne pas avoir de collision entre eux.

Au moment de placer le signal ferroviaire sur la voie, nous verrons les mêmes indications de pose que pour l’arrêt de train.



Soit les emplacements de pose possible. Ici vu que c’est notre premier signal, nous avons encore la possibilité de le poser des deux côtés. Cependant sa pose définira un sens de circulation comme indiquer par les flèches jaunes. Les rectangles blancs nous indiquent la position du train si ce dernier doit s’arrêter du au signal rouge du signal ferroviaire. Une fois posé, nous n’aurons que la position du train et le sens de circulation.



Cependant si nous voulons positionner un second signal, nous n’avons plus la possibilité de le mettre de l’autre côté de la voie excepté sur l’emplacement blanc.



La pose d’un signal sur cet emplacement blanc nous donnera de nouveau la possibilité de poser par la suite d’autres signaux des deux côtés de voie. Il aura aussi pour effet d’établir sur ce tronçon de voie la possibilité aux trains de circuler dans les deux sens.



En plaçant deux signaux quelconques du même côté d’une voie, nous créerons un tronçon de voie mais aussi un sens de circulation.

Maintenant que nous savons établir un sens de circulation ou les deux, parlons des deux différents signaux que nous pouvons mettre en place et donc de leur utilité différente.
2.1.3.1. Le signal ferroviaire.


Il est utilisé pour avertir le train qui le précède si la voie est libre ou non.
Un signal vert indiquera donc au train que la section de voie est libre.

Un signal rouge que le tronçon de voie est occupé.



Il arrêtera donc le train arrivant des flèches jaunes sur l’emplacement des rectangles blancs.

Il existe une troisième couleur au signal ferroviaire. Le jaune.



Cette couleur est due à l’arrivée d’un train. Plus le train sera rapide plus la distance au moment où cette couleur apparaitra sur le signal sera longue. En fait cela est du à la distance de freinange du train. Ceci nous sera utile pour traverser une voie sans se faire écraser mais pas uniquement.

Il fera passer tous les signaux adjacents à cette voie au rouge ou croisant cette voie avant l’arrivée du train alors que le train n’occupe pas encore le tronçon de voie.



Nous avons donc un moyen simple d’éviter une collision.

Il lui reste encore une partie importante à découvrir. Nous pouvons aussi le connecter au réseau logique.



Au départ nous avons la possibilité de lire la couleur du signal ferroviaire sur notre réseau logique. Nous pouvons d’ailleurs en changer la couleur par n’importe quel signal logique qui nous sera utile.



Sur cette photo ci-dessus, j’ai choisi le dernier onglet mais toutes les marchandises sont possibles. Ici, j’ai le choix des couleurs (attention cela ne changera pas la couleur du feu lui-même mais uniquement le signal qu’il enverra au réseau logique). J’ai aussi le choix de chiffres et des lettres. Nous verrons plus tard dans d’autres sections de ce guide les utilités que nous y ferons.

En cochant la case « passer le feu au rouge », nous avons une nouvelle option qui apparait.



Je ne rentrai pas d’avantage sur le détail de cette option pour le moment mais comprenez tout de suite que nous pourrons donner des ordres à ce signal pour qu’il passe au rouge suivant certaine condition que nous lui indiquerons. Nous pourrons donc le commander. Cela nous sera très utile pour arrêter un train. Croyez-moi.
2.1.3.2. le signal ferroviaire chainé (Dit chainé)


Ce signal ferroviaire chainé lit les prochains signaux présents sur le réseau. Attention, il ne lit pas tous les signaux. Il lit le suivant uniquement mais si nous avons une bifurcation de voie, il lira le signal sur la première voie mais aussi celui de la seconde voie.



Il a le même code de couleur que son homologue mais possède une couleur supplémentaire. Le bleu.



Cette couleur signalera au train qui arrivera que l’un des tronçons de voie est occupé, bloquant le train si ce dernier désire l’emprunter mais laissera passer tout train désirant emprunter le tronçon libre. Nous en verrons l’utilité plus tard.

Le signal ferroviaire chainé est aussi très utile pour empêcher un train d’occuper un carrefour et donc de gêner la circulation des autres trains.



En effet si nous n’avions que des signaux ferroviaires, le train n’aurait vu que le tronçon de voie qu’il veut emprunter est occuper qu’une fois arrivé devant le signal ferroviaire. Il se serait donc arrêter mais serait déjà engagé sur le carrefour, paralysant notre trafic. Comme le chainé lit le prochain feu, il arrête le train qui n’est donc pas engagé sur le carrefour laissant la libre circulation des autres trains.

Il sera donc très utile avant tout carrefour pour empêcher toute obstruction de tronçon de voie.

Nota : Entre choisir entre carrefour ou rond-point, le carrefour permettra aux trains d’être plus rapide car ils ne doivent pas faire pas faire le tour du rond-point. Ceci permettra une meilleure fluidité du trafic.

Astuce : Il se peut que notre train annonce le message « aucun chemin d’accès ». Cela est peut-être dû à une erreur de signaux ferroviaire chainés ou non. Dans ce cas, montez dans le train. Conduisez le en manuel jusqu’à dépasser le premier carrefour puis passer le en automatique en lui demandant d’aller à l’arrêt qu’il ne voulait pas au départ. S’il redémarre sans soucie, votre problème se trouve à ce carrefour que vous venez de dépasser. Répétez la manipulation jusqu’à trouver l’incident.
2.1.4. Les wagons.
Il existe deux types de wagons dans « Factorio ». Il nous connaitre leur caractéristique mais aussi leur astuce.
2.1.4.1. Les wagons de marchandises.
Le wagon de marchandises sera notre seul moyen de transporter des marchandises. Il possède 40 emplacements.



Ce dernier est configurable.
La croix rouge nous permet de réduire le nombre d’emplacement disponible comme nous pouvons le faire dans un coffre.



Il existe aussi deux autres possibilités cachées.

-Le wagon est plein de marchandises que vous désirez.
Un simple clic sur la molette va réserver en bleu l’emplacement de la marchandise dans le wagon.

-Le wagon est vide de toute marchandise.
Un simple clic sur la molette ouvrira le menu des marchandises possibles.
Il est à noter que nous n’avons pas l’onglet supplémentaire de signaux logiques car c’est bien des marchandises que nous avons seulement besoin.

Ceci nous sera utile pour n’avoir que le chargement de marchandises désirées.
Je vous le conseil donc.

Astuce :
Un simple « Shift + clic droit » copiera la marchandise.
Un simple « Shift + clic gauche » collera dans un nouvel emplacement la marchandise désirée.
Nous pouvons faire la même manipulation pour copier la configuration d’un wagon sur un autre wagon.
2.1.4.2. Les wagons citernes.
Pas encore disponibles à l’heure où j’écris ces lignes.
2.1.5. Les locomotives à vapeur.
Les locomotives à vapeurs fonctionnent comme leur nom l’indique avec de la vapeur. Pour le moment, il n’est pas nécessaire d’avoir une réserve d’eau. Cependant il a tout de même besoin de carburant pour rouler.

Les carburant possible sont le bois, le charbon, le combustible solide, le carburant pour fusée.

Nota : Bien que le carburant pour fusée soit le plus intéressant au niveau des Mégajoules (225 MJ) fournit, je vous déconseille de l’utiliser. La création de carburant vient de 10 combustibles solides (25 MJ) ce qui nous ferait au total 250 MJ. Nous avons donc une perte. Il est donc plus rentable d’utiliser le combustible solide.

Pour le chargement de la locomotive, nous pouvons le faire de manière automatique via les bras robotisés directement sur la locomotive à l’arrêt d’un train.



Cela sera bien évidement notre but. Ne plus nous en occuper mais dans un premier temps nous n’en avons peut-être pas fait. Nous allons donc sélectionner notre train avec le curseur (main libre) et un clic gauche.

Un menu est apparu.



J’ai volontairement choisi directement le deuxième onglet « Carburant ». J’entrerai dans le détail des autres juste après.

Nous pouvons observer les emplacements disponibles où se trouve le symbole « Carburant ». Il peut donc contenir 3 empilages de carburant ce qui lui donne une très grande autonomie suivant le type de carburant.
Nous avons également la barre rouge montrant la consommation d’un carburant.
Dans mon inventaire, j’ai deux empilages de charbon que je pourrais inclure dans les emplacements prévu pour le train.

A droite, j’ai la mini carte pour montrer la position du train sur cette dernière. L’icône de flèche en rond nous permet de permuter entre la mini carte ou la vue du train lui-même.

Ceci nous sera utile pour changer la couleur du train, dernier onglet.



Dans cet onglet, nous pouvons voir les variations des couleurs que nous pouvons faire. Ici, j’ai un train qui charge des circuits verts, j’ai donc voulu le différencier avec une couleur verte afin de le reconnaitre facilement en circulation.

Nota : Une rotation de la molette sur la mini carte ou sur l’aperçu du train va changer le zoom. Ceci peut être utile sur la mini carte pour mieux apprécier l’emplacement du train. Sur l’aperçu du train pour observer où il en est du chargement/déchargement par exemple.

Le premier onglet « Itinéraire » est le centre de commande du train.



Nous pouvons nous apercevoir qu’avant toute instruction le train est en mode « Manuel ». Il nous suffira de changer son mode en « Autonome » pour qu’il fasse automatiquement les ordres que nous lui donneront.

Pour cela nous avons un premier cadre noir. Ici seront notés tous les arrêts que nous désirons qu’il fasse de manière automatique.
En choisissant le « + » à droite nous pouvons ajouter les arrêts existants (impossible de créer un nouvel arrêt dans ce menu).
La poubelle sera pour effacer un arrêt sélectionné dans le cadre noir.
La flèche forcera le train à aller à l’arrêt de train que nous aurons sélectionné dans le cadre.

Une fois avoir choisi un arrêt de train, un autre menu apparaitra. Celui de la condition d’attente à l’arrêt choisi.



Temps écoulé :
Le train attendra que le temps choisi soit écoulé pour repartir et ceci peu importe si ces wagons n’ont pas fini de se charger ou décharger. C’est donc une limite de temps sans restriction particulière.
Cela est utile si nous avons besoin d’un train qui fait un grand circuit. Je vous le déconseille cependant. Si tous nos trains voyagent constamment, nous risquons obstruer inutilement notre trafic ferroviaire, le ralentissant donc.

Wagons pleins/Wagons vides :
Le train repartira une fois la condition choisi, effectué. Très utile pour avoir des trains voyageant à pleine charge ou s’étant vidé totalement. Ceci sera très rentable.

Nombre d’objet :
Le train repartira une fois la condition du stock de la marchandise atteinte.



Il faut cependant bien faire attention au signe >, <, = que nous pouvons mettre car les bras robotisés peuvent introduire ou enlever plus que voulu suivant les bonus débloqués les concernant. Ils pourraient de ce fait bloquer votre train à son arrêt.

Ceci nous sera utile pour un train contenant plusieurs marchandises différentes et que nous avons besoin d’un contrôle sur ou plusieurs de ces marchandises.

Condition logique :
Le train répondra à des ordres spécifiés par des conditions extérieures au contenu du train. Nous le verrons plus tard dans ce guide.

Inactivité :
Ceci diffère de la condition d’attente « Temps écoulé ». En effet, si le ou les wagons n’ont pas eu de changement dans leur contenu durant le temps imparti, le train repartira de lui-même après le temps écoulé.

Nous pouvons bien entendu ajouter autant de condition que nécessaire.



Il nous est même possible avec le symbole « And/Or » de changer un condition d’attente pour que cela soit l’une ou l’autre et non les deux.

Nota : Le chargement de combustible pour le fonctionnement de la locomotive n’est pas pris en compte dans toutes les conditions, je vous conseillerai donc d’utiliser « Temps écoulé » ou « Inactivité » pour les arrêts de rechargement de carburant de vos locomotives s’il diffère de vos arrêts chargement/déchargement des wagons de marchandises.

Astuce : Il existe un onglet en haut à droite au-dessus de la mini carte principale.



Celui-ci vous permettra de voir tous vos trains. Très pratique si vous voulez accéder à un train à distance.

Astuce command lua : Les locomotives ont toutes un nom différent qu’il nous est possible de changer via une commande Lua. Pour cela, nous sélectionnerons le train et feront la commande Lua suivante :
/c game.player.selected.backer_name = « nouveau nom du train »
(Les guillemets sont nécessaires dans la commande)
2.2. Réseau logique et ferroviaire.
Il n’est pas simple d’avoir un réseau ferroviaire optimisé.
Nous avons des centres de forage dispatché sur tout le terrain et avons donc des trains qui ne sont pas égale en trajet. S’ils ont un quai chacun, l’un sera plus fréquemment sollicité. Cela peut créer des soucie dans le temps. En donnant au quai le même nom, cela est pire car les trains auront tendance à aller au premier quai si disponible. Le réseau logique peut résoudre ce problème.
En fait le réseau logique peut améliorer notre réseau ferroviaire, l’optimiser.

Nous aurons des trains qui partiront plus fréquemment, des répartitions des marchandises sur tous les quais d’une même marchandise et nous soulagerons le trafic par le voyage de train à la demande.

En somme nous allons résoudre beaucoup de problème et améliorer beaucoup de chose mais pour se faire nous allons devoir au préalable mettre quelque installation en place.
2.2.1. Réseau logique principal d'information.
Le réseau ferroviaire est une partie de « factorio » relativement importante. Il permet à deux usines éloignées de travailler ensemble. Tout comme le fait aussi le réseau logique entre deux appareils intelligents.
Cependant les trains circulent sur des rails et les signaux logiques dans des câbles.

Je suppose que si vous utilisez les trains, vous faites parvenir votre alimentation électrique à vos usines délocalisées (site de forage, centre pétrolifère, station de pompage, etc…) en ayant installé le long des voies des grands poteaux électriques. C’est très bien. C’est ce que nous avons besoin.


Nous allons nous servir de notre installation ferroviaire pour installer en parallèle, le long des voies, notre réseau logique. Cela nous permettra étendre de façon organisée notre réseau logique.

Si un fil de cuivre peut être connecté entre deux poteaux, le câble logique peut en faire de même.
Nous allons donc relier un câble rouge et un câble vert sur tout notre réseau ferroviaire.

Ce réseau sera notre réseau logique principal. Nous y ferons voyager toutes les informations que nous jugerons utile, des alertes, des ordres, nos stocks. Il y a tant à transmettre au final. Nous garderons sur nos usines les réseaux logiques secondaires car elles auront besoin d’informations qui pourraient engendrer des disfonctionnement si relier ensemble.

En attendant la chose est simple, installons notre réseau.


Nota personnel : Autant en profiter pour installer des lampes.

Astuce : En faisant un « blueprint » d’un tronçon de rail comme sur la photo, nous gagnerons non seulement du temps pour la construction via « robot de construction » mais ferons aussi une économie de câble logique. Les câbles ne seront pas décompter de notre inventaire.

Bien que cette partie semble courte sur papier, elle sera relativement longue à installer en début de partie tant que nous n’avons pas la technologie des robotport personnel. Les rails, les signaux ferroviaires, les poteaux, les câbles, les lampes.
2.2.2. Optimisation du réseau ferroivaire.
Pour avoir un réseau ferroviaire optimisé, nous devons comprendre qu’un train devra voyager de plein à vide. En effet, si un train part avec seulement la moitié de son chargement dans l’un de ses deux voyages, il n’aura que rempli la moitié de sa mission. Nous devrons donc mettre pour condition « Wagon plein/wagon vide ».
Pour les conditions du train, je n’ai pas besoin de l’expliquer de nouveau car j’en ai déjà parlé plus haut.

Pour rendre plus efficace, nos quais de chargement, il est nécessaire d’installer des coffres afin qu’ils puissent se remplir durant l’absence du train à quai et rendre le chargement plus rapide.

De même pour nos quais de déchargement, il serait judicieux qu’ils n’attendent pas une livraison pour fournir des marchandises. Donc prévoir un stock sur ces quais parait une bonne alternative. Il sera à nous d’avoir fait un bon calcul entre nos productions et nos besoins de cette marchandise pour pouvoir fournir juste ou plus.

Pour finir est-il plus rentable de faire voyager deux fois un train de deux wagons de marchandises ou un seul de quatre wagons ? Bien évidemment plus le train économisera ses voyages, plus il sera rentable. Le réseau ferroviaire sera aussi moins surchargé. Pour cette partie, je ne rentrerai pas dans les détails. Seule votre expérience parlera pour vous.
2.2.2.1. Optimisation du chargement.
Pour que le chargement des coffres soit vraiment optimisé, il faut un remplissage uniforme sur tous les coffres en absence du train à quai. En effet si nous n’avons qu’un coffre qui se soit rempli, la vitesse d’un seul bras ne pourra jamais excéder la vitesse de tous les bras présent sur le quai si tous nos coffres étaient remplit de façon équitable. Nous devons donc prévoir ce chargement équitable.

Nous avons cette méthode avec des répartiteurs.



Cependant cette installation prend beaucoup de place. De plus elle reste couteuse en répartiteur.

Il existe une méthode compacte avec la logique.



A première vue, nous pourrions prendre ce chargement comme un simple montage avec aucune répartition possible mais si nous faisons bien attention des câbles verts et rouges sont connectés et un calculateur a fait son apparition derrière le poteau électrique de gauche. C’est une merveille de technologie compacte.

Comment le monter ? Avec l’éclaté de la photo suivante, il sera plus simple de le comprendre.



J’ai connecté un câble vert à tous les coffres du quai puis à l’entrée du calculateur.
J’ai ensuite connecté tous les bras du quai avec un autre câble vert puis à la sortie du calculateur.
Pour finir j’ai relié chaque bras à son coffre respectif avec un câble rouge.

Pour finir je mets la même condition à tous les bras robotisés du quai.



Soit « Tout » inférieur à 1.

Je m’occupe ensuite de la condition du calculateur.



Entrée : « Chaque » divisé par moins 12 (12 étant le nombre de coffre présent sur la totalité du quai).
Sortie : « Chaque ».

Nota : Le fait d’avoir utilisé les signaux « Tout » et « Chaque », nous permet de l’utiliser sur n’importe quel quai d’une marchandise. Nous pourrons donc en faire un « Blueprint » pour une construction plus rapide mais aussi économique sur tous les quais que nous aurons besoin.

Nous avons fini avec ce montage.

Astuce raccourci : Il existe une touche pour jeter les objets en main « Libérer le curseur », ceci aura pour effet lorsque nous avons un câble rouge ou vert en main connecté à un objet d’en couper la liaison. Cela sera plus rapide que de le ranger dans notre inventaire puis de le reprendre pour établir une nouvelle connexion.

Astuce économique : Nous pouvons tout de suite en faire un « blueprint ». Cela nous fera une économie de câble rouge et vert. En effet durant la construction via robotport (personnel ou non), les câbles ne sont pas décomptés de nos stocks.

Passons maintenant aux explications.
Les bras robotisés vont avoir deux informations qui vont s’additionner entre elles.
La première venant du câble rouge. Soit le stock du coffre sur lequel ils agissent respectivement.
La seconde venant du câble vert connecté au calculateur. Ce dernier est le calcul de la moyenne des stocks de tous les coffres puisqu’il reçoit l’information de tous les coffres du quai par le câble vert qui lui est connecté à son entrée.

Cependant pour avoir une constante et non un chiffre croissant sans cesse avec la croissance des stocks, nous devons faire une soustraction du stock du coffre (câble rouge) avec la moyenne de tous les coffres. Dans l’opération de la moyenne du calculateur, nous avons insérer un « moins » dans le nombre total des coffres du quai (-12) pour créer cette soustraction nécessaire. Ainsi nous avons le stock du coffre – la moyenne de tous les coffres.

Je vais à présent prendre l’exemple d’un quai contenant seulement deux coffres. La division pour la moyenne des coffres dans le calculateur sera donc avec -2.

-Etape 1 : Nous n’avons au départ aucune marchandise sur le convoyeur ainsi que dans les coffres.


Vu que le total est égale à 0 sur les deux bras, chaque bras reste actif (voyant vert).

-Etape 2 : Une marchandise arrive sur le convoyeur et se présente devant le bras robotisé 1. Comme ce dernier est actif, il prend la marchandise et l’insère dans son coffre.

Nous avons donc de nouvelles informations.


Vous avez sans doute remarqué que j’ai fait un changement dans l’information venant du coffre 1 mais pas dans l’information venant du calculateur. Je me dois donc d’expliquer ceci. Dans la logique des calculs de « Factorio », tous les nombres derrière la virgule ne compte pas.
Dans l’opération du calculateur, j’ai 1 divisé par -2 soit -0,5. Comme les chiffres derrière la virgule ne comptent pas, j’ai donc bien zéro comme résultat.

Nous avons donc le total des informations du bras robotisé 1 qui passe à 1. Il ne remplit plus la condition < 1. Il n’est donc plus actif (voyant rouge). Cependant les informations du bras robotisé 2 n’ont pas changé. Il reste donc actif.

-Etape 3 : Une autre marchandise arrive sur le convoyeur et passe devant le bras robotisé 1 mais celui-ci est inactif. Il ne peut pas prendre la marchandise. Elle continue devant le bras robotisé 2 qui lui est actif. Il prend donc la marchandise et l’insère dans son coffre.


Nous nous retrouvons dans les mêmes conditions qu’à l’étape 1. Le bras robotisé 1 pourra de nouveau déposer une marchandise.

Bien entendu les étapes augmentent avec le nombre de coffre mais le principe reste le même. Une fois un coffre en dessus de la moyenne, le bras robotisé du coffre sera inactif.

Nous aurons donc tous nos coffres chargés de façon équitable ce qui rendra le chargement des wagons plus efficace à l’arrivée du train à quai.
2.2.2.2. Chargement sur quai multiple

Dans le cadre d’usine délocalisée, nous aurons plusieurs usines qui demanderont une marchandise en particulier. Il nous faudra donc produire cette dernière en grosse quantité. Cependant en restant avec un seul quai de chargement, nous allons surement ralentir l’usine et pire les usines dans le besoin devront attendre leur livraison ce qui risque de bloquer leur production. Nous devons donc mettre en place plusieurs quais de chargement.

Cependant si j’ai un train qui fait beaucoup d’aller-retour car l’usine qu’il s’occupe à une forte demande en cette marchandise, son quai va rapidement se retrouver en pénurie. A côté nous avons surement un quai qui aurait été prêt à le recevoir car celui-ci aura été moins sollicité. Nous devons donc mettre en place un système qui interdit l’accès au quai si celui ne peut charger complètement un train et laisser seulement les quais pouvant subvenir au besoin d’un train ouvert.

Pour se faire nous allons déjà préparer nos quais.
Dans les photos qui suivent, nous avons voulu privilégier un chargement rapide des wagons en mettant un place des bras robotisés de chaque côté du quai comme un miroir.



Le train n’en sera que plus rapidement chargé et pourra donc vite libérer le quai.

Comme nous sommes sur un quai en terminus, nous avons deux signaux au bout du quai dont un signal chainé pour la sortie du train pour l’empêcher de s’engager sur un carrefour s’il ne pouvait le quitter rapidement.

Nous avons à gauche un système de convoyeur qui équilibre les marchandises sur chacun des convoyeurs menant au quai. J’ai aussi privilégié un plus grand nombre de convoyeur pour une alimentation rapide des coffres.

Dans cette démonstration, nous n’aurons que de quatre quais. Nous allons les mettre en place avec leur accès.



Pour les rails situés à l’extérieur des quais, nous n’utiliserons que des signaux chainés pour éviter toutes obstructions des carrefours dans un sens comme dans l’autre.



Nous pouvons cependant remarquer que nous avons un signal ferroviaire pointé par la flèche verte à la sortie commune de tous les carrefours. L’enchainement de tous les chainés précédent fera en sorte qu’aucun train ne pourra quitter son quai tant que le tronçon de sortie ne sera pas libre.

Le signal chainé commun à toutes les entrées pointé par la flèche rouge lui servira à bloquer tous les trains en file indienne tant qu’un quai ne sera pas dans la capacité de remplir un train au complet. Cela évitera qu’il s’engage sur une voie et ne puisse plus accéder à une autre voie. Il faudra aussi prévoir une assez longue file d’attente pour que tous nos trains en file indienne ne viennent pas déborder sur le réseau principal ferroviaire.

Pour que nos trains puissent tous accéder à n’importe quel quai, nous devons nommer toutes les arrêts de train par le même nom. Ici j’ai choisi « C. Fer » pour « Chargement des plaques de Fer ».



Pour bloquer l’accès à nos quais, nous devons récupérer les stocks de chaque quai et les transmettre à leurs signaux ferroviaires respectifs pour qu’ils passent au rouge si le quai ne correspond pas à la condition désirée.

Nota : J’ai fait exprès de prendre le cas d’un chargement miroir pour la difficulté de ce qui suit mais n’oubliez pas que le double chargement est le plus rapide.

Avec le système de chargement par la logique, nous avons déjà un câble vert connecté à tous les coffres de sa ligne. Cependant si nous relions directement les stocks du chargement miroir d’un quai entre eux, les calculateurs n’auront plus leurs propres coffres dans leur calcul pour obtenir la moyenne mais ils auront aussi les coffres de ceux situé de l’autre côté du quai. Il nous faut donc isolé l’information de chaque ligne de stock avant de l’additionner en vue de donner le résultat au signal ferroviaire de bout de quai. Pour isoler les stocks nous utiliserons des calculateurs que nous allons placer au bout du quai coté sortie. Une fois en place nous connectons avec un câble vert nos stocks respectivement à l’entrée de leur calculateur respectif.



La condition du calculateur sera
Entrée : « Chaque » multiplié par 1.
Sortie : « Chaque ».

Ce qu’il fait qu’il émettra le même signal en sortie qu’il reçoit à son entré.

Nous pouvons à présent rejoindre les deux sorties des calculateurs entre eux avec un câble vert et les relier à leur signal ferroviaire de bout de quai. Nous n’aurons sans doute pas assez de longueur de câble pour rejoindre le signal ferroviaire du bout du quai. Nous nous connecterons donc aux poteaux électriques pour pouvoir faire cette liaison.



Pour finir, il nous faut calculer la contenance maximum d’un train avec cette marchandise pour donner la limite d’accès au quai.

Nous aurons donc comme calcul :
Le nombre d’emplacement d’un wagon x nombre de wagon x nombre maximum de la pile de la marchandise.

Un wagon de marchandises possède 40 emplacements initiaux.
Dans l’exemple, j’ai un quai pouvant contenir 4 wagons.
J’ai aussi parlé de l’arrêt de train « C.Fer » pour des plaques de fer. La pile est de 100 marchandises.

J’ai donc 40 x 4x 100. Résultat 16 000 soit 16 K (1000 = 1 K dans « Factorio »).

Passons donc à la condition du signal ferroviaire.



Dans la condition du signal, nous cochons la case « passer le feu au rouge » pour donner la limite d’accès et nous décochons la case « Lire la couleur du feu » car nous n’en avons pas utilité.

Condition d’arrêt : « Tout » < 16 K.
Il faut que notre signal passe au rouge si les stocks du quai sont inférieurs à 16 000.

Nous avons terminé. Nous pouvons passer au déchargement.
2.2.2.3. Optimisation du déchargement.
Pour un déchargement de seulement deux wagons de marchandises, un simple montage avec un convoyeur relier en son centre suffit.



Les coffres extérieurs se déchargeront plus vite mais cela n’aura aucune incidence sur le chargement des coffres par les wagons de marchandises.

Cependant en dépassant ce nombre de deux wagons de marchandises les problèmes vont arriver. Les coffres centraux ne pourront pas se décharger.



Sur cette photo ci-dessus, j’ai fait un montage sur 4 wagons pour un équilibre esthétique.
En encadré en vert, les coffres qui se déchargeront en priorité.
En encadré en rouge, les coffres qui ne pourront jamais se décharger tant que tous les coffres situés en extérieur ne pourront pas se décharger.

Donc à l’arrivée d’un nouveau chargement (un train avec son plein de marchandises), les coffres extérieurs accepteront le déchargement complet du wagon de marchandises alors que les coffres centraux ne s’étant pas déchargé ne pourront pas accepter le déchargement de leur wagon. Le train qui si fonctionne avec la condition d’attente « wagon vide », se retrouvera bloquer tant que les bras extérieur de nouveau rempli ne se seront pas de nouveau totalement vidé. Cela nuit donc à l’efficacité du train. Il aurait pu s’il avait pu repartir revenir décharger vu que les coffres extérieurs sont vide de nouveau.

Il est donc nécessaire d’avoir un déchargement équitable de tous les coffres.

Il existe une méthode avec des répartiteurs mais comme expliqué précédemment, elle reste couteuse, prend de la place et peu sur.



Pour finir, il reste la méthode infaillible avec la logique.



Encore une fois, il ressemble à notre premier montage mais avec des câbles vert et rouge. Nous avons toujours la présence d’un calculateur sur le côté gauche.
Voici donc l’éclaté de ce montage pour plus de compréhension dans son montage.



J’ai connecté un câble vert à tous les coffres du quai puis à l’entrée du calculateur.
J’ai ensuite connecté tous les bras du quai avec un autre câble vert puis à la sortie du calculateur.
Pour finir j’ai relié chaque bras à son coffre respectif avec un câble rouge.

Pour finir je mets la même condition à tous les bras connecté entre eux du quai.



Soit « Tout » supérieur à -1.
Je m’occupe ensuite de la condition logique du calculateur.



Entrée : « Chaque » divisé par -24 (24 est le total de nos coffres sur ce quai).
Sortie : « Chaque ».

Nota : Le fait d’avoir utilisé les signaux « Tout » et « Chaque », nous permet de l’utiliser sur n’importe quel quai d’une marchandise. Nous pourrons donc en faire un « Blueprint » pour une construction plus rapide mais aussi économique sur tous les quais que nous aurons besoin.

Passons aux explications maintenant.
Comme précédemment lors du montage du chargement, les bras reçoivent deux informations qui vont s’additionner entre elle.
La première venant du câble rouge. Soit le stock du coffre sur lequel ils agissent respectivement.
La seconde venant du câble vert connecté au calculateur. Ce dernier est le calcul de la moyenne des stocks de tous les coffres puisqu’il reçoit l’information de tous les coffres du quai par le câble vert qui lui est connecté à son entrée.

Comme expliquer précédemment nous avons mis un signe négatif dans le calcul de la moyenne afin de faire une soustraction entre les stocks du coffre et la moyenne des coffres.

Passons à l’exemple sur deux coffres donc deux bras. Pour cela, nous allons partir du principe que le convoyeur part dans la direction bras robotisé 1 vers bras robotisé 2. Nous nous dirons aussi qu’une fois que le bras robotisé 1 aura déposé sa marchandise sur le convoyeur, le bras robotisé 2 ne pourra pas le faire car le convoyeur sera obstrué par la marchandise. Nous partons avec un stock dans chacun de 10 marchandises.


Etape 1 : Le bras robotisé 1 dépose une marchandise. Nous avons donc de nouvelles informations.


Les bras robotisés sont tous les deux encore dans leur condition activité.

Etape 2: La marchandise passe devant le bras robotisé 2 qui ne peut pas déposer la sienne. Le bras robotisé 1 lui peut le faire. Nous avons encore de nouvelles informations à mettre à jour.


Le bras robotisé devient inactif puisque qu’il ne remplit plus la condition. Le bras robotisé pourra alors déposer sa marchandise une fois que la marchandise du bras robotisé 1 sera passé devant lui car il n’y aura pas de nouvelle information à jour tant que le bras robotisé 2 n’aura pas déposé sa marchandise.

Etape 3 : Le bras robotisé 2 a déposé sa marchandise. Nouvelles information.


Nous nous retrouvons dans les mêmes conditions qu’à l’étape 1. Le bras robotisé 1 pourra de nouveau déposer une marchandise.

Bien entendu les étapes augmentent avec le nombre de coffre mais le principe reste le même. Une fois un coffre en dessous de la moyenne, le bras robotisé du coffre sera inactif.

Nous aurons donc bien un déchargement équitable de tous les coffres.
2.2.2.4. Déchargement sur multiple quai.
Une usine délocalisée peut avoir de grand besoin d’une marchandise. Un seul quai ne suffira sans doute pas à subvenir correctement. Nous devrons donc faire en sorte à ce qu’elle possède plusieurs quais de réception de cette même marchandise.

Si tous nos quais portent des noms différents, il se peut qu’un quai soit plein mais pas son voisin. Dans tel cas, nous aurions un quai dans le besoin et un train en attente de déchargement sur l’autre quai. Nous devons donc mettre le même nom à chaque quai.

Si nous ne faisons pas de comparatif entre les stocks de chaque quai, nous aurons forcément le premier quai qui va se remplir par la proximité d’accès de ce dernier. Nous aurons surement le deuxième qui se remplirait à moindre mesure mais les suivant attendraient. Nous devons donc faire en sorte que seul le quai ayant le plus petit stock soit ouvert afin de le privilégier.

Ensuite si nos quais ne peuvent accepter la totalité d’un déchargement, il serait nécessaire qu’il soit fermé. Cela empêchera au train de se retrouver bloquer à quai en attente de son déchargement complet alors qu’il se pourrait qu’un autre quai vide son stock plus rapidement et soit disposé à recevoir le déchargement complet.

Pour finir nous devrons créer une zone d’attente pour les trains plein au cas où tous les quais soient fermés. Cependant comparé au chargement sur multi quai où nous avions fait une file indienne pour privilégier le premier train arrivé, il ne sera pas nécessaire ici. Nous pourrons donc créer une vraie zone d’attente.

Commençons donc à mettre nos quais en place ainsi que leur accès.



Nous pouvons remarquer que je n’ai pas de déchargement de part et d’autre du quai. Il ne faut surtout pas accélérer le déchargement d’un quai. Les trains ne pourraient sans doute pas suivre la cadence imposée par les quais.

Comme nous sommes sur des quais à terminus, j’ai deux signaux au bout du quai.



Le signal chainé fera en sorte de bloquer le train à quai pour qu’il ne se retrouve pas bloquer plus loin en plein milieu d’un carrefour.

Pour les signaux sur les carrefours, nous aurons également des signaux chainés.



Nous aurons un signal ferroviaire situé au niveau de la flèche verte pour signaler le tronçon de sortie commune. Ainsi si celui est occupé, tous nos trains resteront à quai sans venir obstruer les carrefours car tous les signaux précédents sont des signaux chainés.

Au niveau de la flèche rouge, il n’y a pas de chainé. Nous verrons plus tard en créant la zone d’attente où sera situé les chainés.

Nommons dès à présent nos quais par le même nom.



Ici j’ai pris « D.Fer » pour « Déchargement des plaques de Fer ».

Pour pouvoir comparer les stocks de chaque quai entre eux, il nous faut faire une différence dans le signal qu’ils émettent. Dans l’exemple des plaques de fer est le signal commun à tous. Changeons cela.

Pour se faire nous allons installer un calculateur en bout de chaque quai et relier par un câble vert les stocks du quai à l’entrée de son calculateur respectif.



Nous allons ensuite mettre la condition suivante au premier quai
Entrée : « Chaque » x 1.
Sortie : « 1 »

Au deuxième quai,
Entrée : « Chaque » x 1.
Sortie : « 2 ».

Au troisième,
Entrée : « Chaque » x 1.
Sortie : « 3 ».

Le dernier,
Entrée : « Chaque » x 1.
Sortie : « 4 ».




Ainsi chaque quai émettra bien un signal différent.

Nota : J’ai pris soin de mettre des guillemets pour les signaux « 1 », « 2 », « 3 », « 4 ». Il sera plus facile pour nous de reconnaitre une valeur (sans guillemet), d’un signal (avec guillemet) alors qu’il affiche le même chiffre.

Passons maintenant à la comparaison de chaque quai.
Pour cela, nous allons installer des comparateurs à côté du signal ferroviaire de chaque quai. Nous relions par un câble vert la sortie des calculateurs de chaque quai à l’entrée de leurs comparateurs respectif.



Pour que la comparaison soit possible, il faut aussi relier la sortie des calculateurs entre eux pour que le comparateur ait toutes les informations nécessaires.

Pour cela nous allons faire partir un câble vert de l’entrée du comparateur de chaque quai et les relier entre par les poteaux électriques.



Ceci fait nous pouvons mettre la condition de chaque comparateur. Nous respecterons bien l’ordre que nous avons établi avec les calculateurs.

Premier quai :
Paramètres : « Chaque » > « 1 ».
Sortie : « Rouge » (case 1 cocher).

Second quai :
Paramètres : « Chaque » > « 2 ».
Sortie : « Rouge » (case 1 cocher).

Troisième quai :
Paramètres : « Chaque » > « 3 ».
Sortie : « Rouge » (case 1 cocher).

Et le dernier :
Paramètres : « Chaque » > « 4 ».
Sortie : « Rouge » (case 1 cocher).



Nos « comparateurs » vont comparer chaque signal à celui de leur quai respectif. Si leur quai est supérieur aux autres, les comparateurs émettront le signal rouge.

Passons à présent à la limite de réception du quai. Nous devons donc faire des petits calculs. Pour qu’un quai accepte le chargement complet d’un train, il faut que nous retirons des stocks maximum d’un quai, le chargement maxi d’un train.

Nombre d’Emplacement d’un Coffre = NEC.
Nombre de Coffre présent devant un wagon de marchandises = NC
Nombre d’Emplacement d’un Wagon = NEW.
Nombre de Wagon de marchandise du train = NW.
Valeur de la Pile de la marchandise = VP.
Limite de Reception du quai = LR.

NEC x NC x NWx VP (stock maxi du quai) – NEW x NW x VP (Chargement complet du train) = LR (Limite du quai).

Pour simplifier les calculs :
(NEC x NC – NEW) x NW x VP = LR.

Qui a dit un jour que les mathématiques ne servaient à rien ?

Pour ma part j’ai des coffres en acier (48 emplacements) donc NEC = 48.
J’ai 6 coffres devant chaque wagon donc NC = 6.
Le nombre d’emplacement dans un wagon que je n’ai pas modifié est de 40 emplacements donc NEW = 40.
J’ai quatre wagons par train sur ces quais donc NW = 4.
C’est un quai de déchargement des plaques de fer. La valeur de la pile est de 100 plaques donc VP = 100.

Faisons le calcul.
(48 x 6 – 40) x 4 x 100 = 99200.

Gardons ce chiffre en tête.

Nous allons placer à présent les comparateurs nécessaire à cette limite de quai. Nous les placons juste à coté des premiers que nous avons déjà installé précédemment. Et nous relions notre câble vert à leur entrée.



Mettons à présent la conditon dans les comparateurs donc la limite de quai enrespectant une fois de plus l’ordre établi par nos quais.

Premier quai :
Parmètres : « 1 » > la limite du quai. Dans mon calcul précédent LR = 99200.
Sortie : « Rouge » (Case 1 cocher).

Deuxième quai :
Parmètres : « 2 » > 99200.
Sortie : « Rouge » (Case 1 cocher).

Troisième quai :
Parmètres : « 3 » > 99200.
Sortie : « Rouge » (Case 1 cocher).

Dernier quai :
Parmètres : « 4 » > 99200.
Sortie : « Rouge » (Case 1 cocher).



Nota : Une fois la valeur de la limite validée, il n’apparaitra que 99 K dans mon cas. Les derniers chiffres étant invisible pour des économies de place.

Nous avons donc nos comparateurs qui émettront un signal « Rouge » si les stocks de leur quai respectif dépassent la limite.

Nous émettons un signal « Rouge » de la comparaison des quais entre eux et nous avons aussi un signal « Rouge » de la limite de reception du quai. Il nous faut à présent transmettre ces deux informations au signal férroviaire du quai pour que ce dernier passe au rouge s’il reçoit l’un d’eux.
Pour cela, nous allons relier un fil rouge de la sortie des deux comparateurs de chaque quai au signal du quai respectif. Puis nous mettons la condition aux signaux ferroviaires.



La condition des signaux ferroviaires :
Condition d’arrêt : « Rouge » > 0.

Nous n’oublierons pas de cocher la case « Passer le feu au rouge » pour pouvoir le faire.
En ce qui concerne la case « Lire la couleur du feu », elle n’est pas nécessaire présentement mais nous verrons qu’avec des trains à la demande cette condition de lecture nous sera utile. Je l’ai donc laissé cocher.
2.2.2.4. Déchargement sur mutiple quai (suite).
Le signal ferroviaire doit passer au rouge s’il reçoit un ou deux signal « rouge » car il peut être supérieur à la limite de reception et/ou supérieur en stock par rapport à un autre quai. Il nous faut donc bien le signe « > ».

Cependant nous avons un petit problème à résoudre avant d’en avoir fini avec les quais. Si il n’y a aucun stock, il n’y a pas de signal « 1 », « 2 », « 3 », « 4 ». Donc si un premier quai fait un stock, il ne pourra pas se comparait aux autres stocks des autres quais. Ce n’est pas la faute du comparateur. Il n’a seulement pas toute les informations. Nous devons donc créer un stock virtuel de chaque quai. Pour cela nous avons besoin d’un émetteur constant.

Rappel sur l’émetteur constant :

L’émetteur constant est un petit boitier pouvant émettre 15 signaux différent, tous disponible de valeur positive ou négative qu’ils soient marchandises, liquides, signaux de couleur, chiffre, lettre. Il est donc comparable à un coffre virtuel.

Il a de plus un position ON/OFF pour le désactiver rapidement.



Il suffit de sélectionner un signal dans l’emplacement des signaux et en changer la valeur.

Placons donc notre émetteur constant à coté d’un comparateur et relions le au cable vert qui relie toutes les entrée des comparateurs. Un seul suffira. Puis mettons lui les signaux qu’il doit émettre.



Nous mettons donc les signaux des quais, soit «1 », « 2 », « 3 », « 4 ». La valeur de chacun est 1 car nous ne voulons pas trop fausser les stocks réels.

Nos quais sont prêt. Occupons nous de la zone d’attente.
Nous allons créer un parking à train.



Ici en tête des trains à droite des signaux chainés répercutant le signal de signaux férroviaires des quais.

J’ai ensuite des signaux ferroviaires à la queue du train à gauche pour délimiter le tronçon qu’ils occupent.

Nous pouvons remarquez que chaque tronçon de la zone d’attente peut contenir la longueur totale du train.

Sur cette photo ci-dessus, j’ai encore un emplacement disponbile pour un autre train.
J’ai aussi également pris une zone d’attente avec 6 emplacements alors que je n’ai que 4 quais. Entre les chargements et les voyages, les trains sont un certain temps indisponible à la zone d’attente. Nous comblons donc cette indisponiblité par un plus grand nombre de train.

Le fonctionnement à présent.

Lorsqu’un signal férroviaire d’un quai passsera au « Vert », les signaux chainé situé en tête des trains passeront tous au « Vert » mais un seul train pourra passer car à son démarrage, il reservera le tronçon suivant qui aura pour effet d’immédiatement de passer les autres signaux chainés au « Rouge ». Durant tout son trajet, sa présence laissera aussi les autres signaux chainés au « Rouge ».



Nous avons terminé.
2.2.2.5. Limite de stocks qu'un quai.
Dans le cas d’usine à un seul quai de déchargement, nous avons toujours un train qui fera des allers-retours sans s’arrêter. Il ne sera bloqué en station qu’une fois le stock du quai de déchargement au maximum donnant l’impossibilité au train de se décharger complètement.

Nous pouvons faire en sorte que le train ne parte qu’une fois la possibilité du déchargement complet du train sur le quai voir même réduire considérablement les stocks de ce quai.

Pour cela il nous suffit simplement de relier les stock du quai directement sur l’arrêt du train.



Il nous restera ensuite de régler le départ du train.



Nous avons donc ajouter dans la condition « Attendre jusqu’à »
Logique : « Plaque de fer » < 24000.

Ici dans cet exemple, il s’agit d’un quai de plaque de fer dont la limite que nous avons fixé est de 2400. Bien sur ce train doit aussi partir vide. Le train vide partira donc lorsque les stocks du quai seront en dessous de 2400.

Remarque : La condition « Wagon vide » n’est pas nécessaire vu que le train sera vide de toute manière si la limite du quai est bien inférieur à son stock maximum moins le chargement complet d’un train.

Nota : Dans le cas d’un déchargement sur plusieurs quais, nous avions déjà une limite d’accès au quai.
2.2.3. Information sur le réseau.
Nous avons préparé notre réseau principal. Nous avons préparé également nos quais. Il est temps de mélanger les deux pour avoir des informations.

Quelles informations avons-nous besoin ?
Les stocks seraient une bonne chose. Cela nous permet de vérifier nos productions. Cependant seul les stocks des quais de production est important car seul compte les marchandises disponibles pour toutes nos usines. Les stocks d’une usine demandeuse de cette même marchandise n’est pas utile en soit car indisponible pour les autres usines ayant la même demande.

Qu’avons-nous besoin d’autre ?
Nous avons besoin d’alerte ! Nous pouvons sur notre réseau logique avoir des alertes pour nous prévenir d’un disfonctionnement.

Par exemple ne serait-il pas utile de voir tout de suite qu’un site de forage est épuisé ? Nous pourrons donc réagir tout de suite avant de s’en rendre compte seulement avec un autre problème survienne lier à l’épuisement du site.

Ne serait-il pas utile aussi d’avoir une alerte lorsqu’une usine est en manque de marchandise ? Nos stocks étant lié à l’usine de production, il nous est impossible de le savoir. Nous verrons plus tard que nous nous servirons de ces alertes pour avoir une réaction de nos trains, les trains à la demande.
2.2.3.1. Les stocks.
Comme je l’ai dit précédemment seul les stocks disponibles sont réellement importants. Les stocks des usines en demande de la marchandise n’étant disponibles que pour l’usine en question, il nous suffira d’être seulement informé par une alerte si son besoin persiste.

Nous nous occuperons donc que des quais de chargement.

Nous avons sur ce quai le système de chargement. Celui se sert déjà du stock de tous les coffres pour en faire une moyenne utile pour le système, je vous le rappelle.

Nous allons donc nous servir de cette connexion déjà existante.

Nous allons seulement prendre le câble vert venant des coffres et le relier à l’entrée d’un calculateur.



La condition de ce calculateur sera :
En entrée : « Chaque » x 1.
En sortie : « Chaque ».

Nous relions sa sortie avec un autre câble vert puis au réseau principal.



Ce calculateur va jouer le rôle d’isolateur. Il oblige les signaux à sortie seulement du quai pour rejoindre le réseau principal mais pas les stocks du réseau venant d’un autre quai produisant la même marchandise à rejoindre ce quai. Comme nous avons un système de chargement utilisant justement les stocks de ce quai, si d’autres informations venaient à entrer sur ce quai, elles pourraient le perturber et créer un disfonctionnement. Nous devions donc bien faire attention à l’isoler.

Sur la photo qui suit le même montage.



J’ai cependant fait une petite correction esthétique.



J’ai préféré connecté le câble vert partant du poteau en premier sur le calculateur puis sur le signal ferroviaire.

Particularité pétrolière : Les sites de pompage pétrolier sont des quais producteur mais leur débit est important en début exploitation et moindre avec le temps. Par contre les besoins en pétrole eux ne font que grandir jusqu’à se stabiliser en final.

Mettre leurs stocks sur le canal vert (les stocks de toutes usines productrices) avec le même signal de marchandise les feraient se noyer dans la masse. De plus nous ne pourrions pas savoir visuellement si un site en particulier est prêt à fournir une livraison (dans le cas de train à la demande). Son signal serait également noyer dans la masse des autres sites de pompage pétrolier.

Nous allons donc faire en sorte que nous puissions voir rapidement nos stocks et de les différencier par la même occasion.

Pour cela nous allons comme précédemment connecter un câble vert de nos stocks du quai à l’entrée d’un calculateur mais nous allons à sa sortie nous le relierons au réseau principal par un câble rouge.



La condition du calculateur :
En entrée : « Baril plein » x 1.
En sortie : « 1 ».

Nous prenons ce signal « 1 » car c’est notre premier site pétrolier. Nous aurons donc le signal « 2 », «3 », etc…



Nota : J’ai utilisé les chiffres dans l’émission du signal car les sites pétroliers seront peu nombre. Nous verrons plus tard que nous utiliserons des signaux d’alerte pour les sites de forage. Ces derniers étant de marchandises différentes donc plus nombreux, nous utiliserons les lettres de l’alphabet. Vu que ces deux signaux, stock pétrolier et alerte site de forage sont sur le même canal, il nous sera plus facile de les différencier. Chiffre/Pompage. Lettre/Foreuse.

Nous verrons plus tard comment exploiter les signaux émis par les sites de pompage.
2.2.3.2. Les alertes sur le réseau principal.
Petit à petit, nous devenons moins petits. C’est tout à fait notre usine.

Au début nous pouvons surveiller facilement nos productions, leurs apports en marchandise mais plus nous nous étendons plus il devient difficile de pouvoir tout surveiller.

Nous pouvons donc avoir un site de forage épuisé et avoir un train bloqué au site car il attend de partir plein. Nous pouvons avoir un manque d’une marchandise dans une usine. En somme nous pouvons avoir des problèmes.

Il nous est possible de créer des alertes de stocks. Il nous suffira ensuite de surveiller de temps en temps notre réseau logique principal pour vérifier nos alertes. Nous pourrons même avoir une alerte visuelle si nous le désirons avec une lampe clignotante.

Nous verrons plus tard que nous pouvons également nous servir des certaines alertes pour avoir une réaction ferroviaire.

Les alertes foreuses.

Ces alertes seront les seules dont le stock devra être de zéro pour être visible. Il nous sert à rien d’avoir un déclenchement plus top.

Nous allons donc relier avec un câble vert à nos stocks du quai à l’entrée d’un comparateur. Puis nous relierons la sortie de ce comparateur avec un fil rouge à notre réseau principal.



La condition du comparateur :
Paramètres : « Tout » = 0.
Sortie : « A » (case 1 coché).

Si le comparateur ne reçoit pas de signal, il émettra « A ». J’ai choisi ce signal de sortie « A » car il est une lettre de l’alphabet (26 lettres) et des sites de forage, nous n’en auront pas qu’un seul. Il nous sera donc plus facile de les distinguer entre eux et nous pourrons aussi le repérer sur la carte en positionnant un autre arrêt à côté du premier portant le nom du signal de l’alerte.



Ici, j’ai mon arrêt de train « C.M. Cuivre 1 » (Chargement de Minerai de Cuivre 1) pour le quai de mon train et j’ai l’arrêt de train « A » celui du signal de l’alerte de stock.

Il nous suffira ensuite de vérifier un poteau du réseau logique principal pour avoir cette information sur le canal rouge.



Nota : Lors de la présence à quai du train et avec un débit faible des foreuses, les marchandises allant du convoyeur au coffre puis au train dans la foulée, nous pouvons avoir un clignotement du signal lors de la visualisation. Il est donc un bon moyen préventif pour prendre les mesures nécessaire afin d’y aller pour corriger le débit.

Nous pouvons aussi avoir un moyen visuel avec une lampe clignotante à un endroit spécifique où nous sommes sûr d’aller. Pour cela, veuillez-vous reporter au chapitre des affichages.

Les alertes des stocks des quais de demande.

Lorsqu’il sagit d’un quai de demande, l’alerte doit parvenir plus tôt que le seuil critique, la pénurie.
Nous devrons donc changer la condition du comparateur. La limite incombe à chacun. C’est pour cela que je ne donnerais pas ici de recette pour la valeur pour cette limite. Nous verrons plus tard qu’avec les limites de production et les alertes lié à ces dernières, nous pourrons avoir la valeur exacte de la limite de stock du quai demandeur.

En attendant nous allons faire le même montage du comparateur que précédemment mais avec une variante dans le condition du comparateur.



Condition du comparateur :
Paramètres : « Chaque » < 1,8 K (la limite des stocks que nous désirons pour le déclenchement de l’alerte).
Sortie : « Circuit électronique » (Case 1 coché).

Nous avons choisi ce signal « Circuit électronique » car il concerne l’usine de production de nos circuits électroniques alors que sur le quai de demande, la marchandise est le fer. C’est juste un moyen pour nous de repérer l’usine dans le besoin. Si nous avions choisi la marchandise dans le signal, comment aurions-nous su qu’il s’agissait de l’usine de circuit électronique. Nous avons plusieurs usines qui demandent du fer.

Nous pouvons faire la même chose sur les usines possédant un multi quai d’une même marchandise.
Cependant nous n’aurons pas besoin d’autant de comparateur que nous avons de quais. Nous avons déjà un système en place qui envoie sur un poteau électrique tous les stocks de chaque quai. Il nous suffit de récupérer ces informations et de les traiter avant de les envoyer sur le réseau principal.

Nous n’aurons donc à relier le câble vert au commun des quais à l’entrée d’un comparateur et la sortie du comparateur à notre réseau principal avec un câble rouge.



Condition :
Paramètres : « Chaque » < 16K.
Sortie : « Circuit électronique » (il s’agit de l’usine de circuit électronique).
Le comparateur recevra l’information de la valeur des stocks de tous les quais et émettra le signal « Circuit électronique ». Un signal de valeur 1 voudra dire que nous avons un quai en dessous de la limite mais nous avons plusieurs trains qui devraient résoudre ce problème rapidement. Par contre dans l’exemple de quatre quais, un chiffre allant de 2 à 4 montrera la gravité du problème.
2.2.4. Les trains à la demande.
Bien que nos trains roulent uniquement de plein à vide, nous n’avons fait qu’ajouter des trains et des trains. Cependant nous allons surcharger notre trafic ferroviaire du à ce nombre considérable de train sur le réseau.

Pour résoudre ce problème, serait-il possible d’avoir un train qui pourrait répondre à tous les quais d’une même marchandise et surtout de distinguer le quai dans le besoin pour remplir sa mission ? Oui, nous pouvons le faire.

Nous pouvons ainsi regrouper certains trains ayant la même mission de marchandise en un nombre plus réduit si le temps de chargement leurs permettent de répondre à toutes les demandes. Nous pourrons aussi avoir des trains répondant à différentes demandes. Ainsi nous réduirons le nombre de train sur notre réseau ferroviaire.

Il permettrait aussi de supprimer les zones d’attente des quais de demande. Ainsi gagner de l’espace.

Nous pourrons aussi limiter les stocks de tous les quais, nous évitant ainsi de surproduire.

Pour se faire, je vais reprendre un à un tous les précédents quais que nous avons préparé et les inclure dans les deux catégories des trains à la demande. Soit les quais de la demande et les quais producteurs.
2.2.4.1. Alerte des quais de demande.
Dans le cas des trains à la demande, si l’usine envoie comme signal de demande ce qu’elle produit, nos trains ne sauront pas quel est le besoin. Nous avons pour une usine de circuit électronique, deux marchandises, deux besoins pour l’assemblage. Le train reçoit « circuit électronique ». Vous voyez l‘incohérence. Il nous faut donc changer le signal de l’usine émis sur le réseau principal par celui correspondant au quai.

D’une autre part, les trains sont ce qu’ils sont et nous devons faire avec. Un train avant son départ calcule le chemin le plus rapide pour aller à son arrêt de destination. Le plus rapide, donc le plus proche. Donc si nous ne fermons pas l’accès des quais n’ayant pas émis la demande, le train lui ne saura pas que ce n’est pas le bon quai. Nous devrons donc fermer le quai.

Pour finir, si nous avons plusieurs quais producteurs, si un quai de demande émet une alerte et qu’à la réception de la livraison, la demande n’est pas satisfaite. Le signal n’étant émis qu’une fois, comment les trains comprendront que le quai est encore dans le besoin ? Nous ferons donc un système qui coupera l’alerte le temps de la présence à quai du train.
Je vais reprendre pour l’explication les quais précédents de chargement. Cependant veuillez bien noter qu’il n’y aura plus de zone d’attente. Les systèmes de limite n’étant plus les même, nous allons donc repartir à neuf sur ces quais de chargement.

Alerte des quais de demande :

Pour cela nous allons relier un câble vert de nos stocks au signal ferroviaire de fin de quai.



Condition :
« Passer le feu au rouge » coché.
« Lire la couleur du feu » coché.

Condition d’arrêt.
« Fer » > 16K.

Signaux de sortie :
Feu vert = « Fer ».

Il s’agit d’un quai de demande de fer.
Nous avons coché les deux possibilités du signal ferroviaire car nous en avons besoin.
La première condition. « Passer au rouge » est la limite de notre quai. Au-dessus de cette limite, le feu sera rouge. En dessous de cette limite, le feu sera vert mais il émettra le signal « Fer » au lieu de sa couleur habituelle, notre demande.

Il nous reste à relier ce signal « Fer » émis par le signal ferroviaire. Cependant en reliant directement le signal au réseau principal, nous recevrons effectivement le signal « Fer », la demande mais nous recevrons également le signal « Rouge » si les stocks sont correct ou la présence qu’un train à quai. Hors il n’est pas désiré. Juste le signal « Fer » nous intéresse. Nous allons donc isolé ce signal. Pour cela nous allons avec un câble rouge relier notre signal ferroviaire à l’entrée d’un calculateur et la sortie de ce dernier avec un autre câble rouge au réseau logique principal.



Condition :
Entrée : « Fer » x 1.
Sortie : « Fer »

C’est toujours un quai de déchargement des plaques de fer dans mon exemple.

L’avantage de ce montage est qu’à l’arrivée du train à quai la demande s’effacera. Si la demande n’a pas été satisfaite lors du départ du train, le signal sera de nous présent. Ce système nous sera utile dans les départs sur quai multiple. Nous le verrons plus tard.

Pour finir, nous devons faire en sorte que notre train ne puisse pas s’engager vers le quai du réseau ferroviaire si ce dernier est fermé. Ceci pour qu’il puisse continuer sa route et ne se retrouve pas bloqué.



Sur la photo pousse levé, le signal bloque bien le train sur le réseau principal. Le train peut continuer sa route.
Sur la photo pousse baissé, le train est engagé sur l’entrée de l’usine, du à une absence du signal chainé sur la voie principale. Le train sera donc bloqué.

Nous pouvons faire ce montage simple sur tous les quais que nous avons besoins. Que ce soit quai simple ou quai multiple.



Alerte des quais de demande des sites de pompage.

Nous avions vu précédemment que nous envoyons déjà leur stock sur le canal rouge pour toujours les avoir en visuel. Nous avons donc pas le même système à mettre en place.
Il nous suffit simplement de connecter notre câble vert venant des stocks du quai à notre signal ferroviaire.



Ce dernier n’a pas besoin d’envoyer d’information. Il doit juste passer au rouge.
Nous avons par contre à lui mettre la condition d’arrêt.
« Baril plein » < 800.

Un wagon peut contenir 400 barils au total, j’ai donc sur cette exemple la limite fixée pour deux wagons.

2.2.4.2. Réaction des trains à la demande.
Départ d’un quai producteur :

Jusqu’à présent nous avons créé la demande sur nos différents quais. Il nous faut à présent répondre par la réaction du départ d’un train.
Nous pouvons informer ce dernier que par l’arrêt de son départ.
Nous devons donc connecter le câble rouge du réseau principal à notre arrêt de train.



Pour finir, nous devons même les conditions d’attente du train.



Station C. Fer (Chargement des plaques de Fer) :
Attendre jusqu’à :
Wagon plein.
ET Condition logique « Fer » > 0.

Le train partira si ces deux condition sont valide. A savoir son chargement plein et la condition logique venant du câble rouge du réseau principal « Fer » > 0. Nous n’avons pas choisi « Fer » = 1 car si nous avions plusieurs demandes en même temps, notre train refuserait de partir.

Station D. Fer (Déchargement des plaques de Fer) :
Attendre jusqu’à :
Wagon vide.
Une fois vide le train repartira. Tout simplement.

Train pétrolier.

Les signaux émis par les sites pétroliers sont leur stock sur le canal rouge. Donc la condition d’attente ne sera pas la même.



Sur cette photo, j’ai mon train de deux wagons. Je peux donc charger 800 barils. Ce train fonctionne par échange à ses deux arrêts. Il possède donc à son aller 800 barils vide et à son retour 800 barils pleins (plus efficace qu’un train voyageant à moitié plein/moitié vide).

J’ai donc mis :
Frêt : « Baril vide » = 800.
Et Condition logique « 1 » > 800. (« 1 » signal du site de forage 1).

Nous n’avons pas mis wagon plein dans sa condition. La raison est qu’à son arrivé, il est déjà plein de baril plein. S’il recevait dès son arrivé le signal d’un site de pompage, il repartirait sans avoir déchargé. J’ai donc choisi la marchandise avec laquelle il doit partir.

Nous avons également la condition logique « 1 » > 800. Dans le système que nous avions mis pour la création de l’alerte de ce quai, nous voulions avoir un visuel constant sur les stocks des différents sites de pompage. Rappelez-vous que l’information des stocks auraient été noyée dans la masse des autres stocks sur le canal vert. Nous devrons donc mettre la condition logique égale au stock maxi du train. Il partira donc pour la station émettant « 1 » lorsque celle-ci aura le stock nécessaire pour le remplir. Elle pourra cependant dépasser le stock du train d’où le signe « > ».

Nous répéterons les conditions pour chaque site de pompage en incluant un OU. Il pourra ainsi répondre aux différents sites.

Départ de plusieurs quais producteurs.

Pour que les trains ne partent pas tous à la première demande venue, nous devons créer des impulsions. Notre signal sera émis un court instant qui ne fera partir d’un seul train avec un sélecteur de départ. Nous aurons aussi besoin d’un aiguillage de retour.



Le système fonctionne très bien. Je l’avais installé dans mon usine. Puis des problèmes sont survenus. Des trains supplémentaires partaient malgré tout. J’ai longtemps cherché. Revenant même à des versions moins optimiser du système. J’ai mis trois jours à comprendre d’où venait le problème.

Dans « Factorio », il existe une grille.



Cela permet de poser tous les marchandises pour nos constructions afin qu’elles soient correctement aligné entre elles. Nous pouvons remarquer sur cette grille qu’il y a des petits carrés à trait fin et des grands carrés à trait épais. Ces gros carrés sont des chunks. Lorsque nous sommes à proximité, il s’actualise tous les tics (60 tics = 1 seconde) donc en continue or lorsque nous sommes loin, ils s’actualisent 1 fois par seconde donc par intermittence. De ce fait au lieu d’avoir une impulsion, nous nous retrouvons avec autant d’impulsion qu’il y a eu d’intermittence. Cela créait donc autant de demande que d’intermittence.

C’est pour cela que je n’expliquerais pas cette possibilité dans ce guide.

Train à double mission.

Nous pouvons faire des trains répondant à plusieurs demandes mais je ne parle pas d’un train pouvant avoir deux marchandises en même temps mais plutôt d’un train ayant une marchandise qu’il apporte dans un sens et une autre dans à son retour. Je pense particulièrement au train de baril de pétrole. Dans un sens, ces barils sont vides. Dans l’autre, ces barils sont pleins.

Départ d’un entrepôt.

Nous avons vu la grille des chunk précédemment. Nous avons un soucie lié à cette grille et à la détection des arrêts de train dans le calcul du chemin le plus court. Pour ne pas dire de bêtises, je ne donnerai pas de chiffre. Sachez cependant qu’il y a une certaine distance où l’arrêt de train ne sera plus détecté s’il y a plusieurs arrêts portant le même nom. La distance est relativement importante. Ne vous inquiétez pas.

Cependant les sites de pompage sont relativement éloignés de leur quai de déchargement de baril plein.
Nous pouvons donc avoir un soucie. Nous allons contourner ce problème.



Sur cette photo, nous avons déjà un très beau site exploité.
En cercle bleu les quais de déchargement de baril plein.
En cercle vert, les entrepôts.
En cercle rouge, les sites de pompage.

Nous avons regroupé les sites 1 avec l’entrepôt 1. Les sites 2 avec l’entrepôt 2. Nous avons donc deux trains. L’un sur l’entrepôt 1. L’autre sur l’entrepôt 2. Ainsi chaque train est proche de la zone qu’il exploite.

L’entrepôt 3 sert pour la livraison des barils plein aux deux quais de déchargement.

Nous aurons donc la condition d’attente de fret pour les sites de pompage et les conditions logiques pour les différents entrepôts.

Ici dans l’exemple de cette carte.
Les sites de pompage 1 regroupent les arrêts suivant l’émission du signal différent qu’ils envoient « A », « B », « C », leurs stocks sur le canal rouge.
Les sites de pompage 2 regroupent les arrêts suivant l’émission du signal différent qu’ils envoient « D », « E ».

Site de pompages 1 et 2.
Condition d’attente :
Fret : « baril plein » = 800.

Entrepôt 1 :
Condition d’attente :
Logique : « A » > 800.
OU Logique « B » > 800.
OU Logique « C » > 800.

Entrepôt 2 :
Condition d’attente :
Logique : « D » > 800.
OU Logique « E » > 800.

Entrepôt 3 :
Condition d’attente :
Logique : « Baril vide » > 0.

Pour les quais de déchargement, il n’est pas nécessaire de connaitre les stocks de baril plein ou vide. Seule l’information signalant que le quai est prêt pour l’échange est importante.

En ce qui concerne l’entrepôt 3, il regroupera les deux trains lorsqu’ils sont plein de baril plein.
Il peut donc nous arriver d’avoir les deux trains en attente à cet endroit.

Les quais de déchargement des barils plein envoient un signal « Baril vide » (pour leur échange) en continue tant que le train n’est pas à leur quai. La réception du signal continu et la présence des deux trains vont nous créer un problème. Les deux trains vont partir au premier signal. Il nous faut donc créer une impulsion. Cette dernière doit se répéter au cas où il n’y a pas de train à l’entrepôt 3.

Nous avions vu auparavant qu’il y a un problème avec les impulsions dû à la relation qu’elle a avec la distance où l’on se trouve. Nous allons contourner le problème. Au lieu de créer une impulsion, nous allons créer une temporisation du signal qui a une valeur défini enverra le signal de départ du train. Le temps de cette temporisation devra permettre au train de rejoindre le quai de déchargement des barils pleins.

Pour créer une temporisation, nous allons relier à lui-même un comparateur.



Sa condition :
Paramètres : « Baril vide » < 5.
Sortie : « Baril vide ».

En lui ajoutant un signal « Baril vide », nous allons avoir ces informations à chaque étape.
J’ajouterai le signal de sortie à l’étape suivante à son entrée.


Si le signal extérieur n’est plus reçu par le comparateur, l’information sera gelée.


2.2.4.2. Réaction des trains à la demande (suite).
Ceci va être un problème. Si l’information se gèle sur le signal de départ, les trains vont partir alors qu’ils n’ont pas reçu le vrai signal des quais de déchargement. Nous devons donc faire en sorte que la tempo se gèle sur son départ, 0.

Pour cela nous allons adjoindre un calculateur qui sera relié à l’entrée du comparateur. L’information de départ sera reliée à l’entrée du comparateur mais aussi à l’entrée du calculateur par un câble de la même couleur. La sortie du calculateur sera reliée à l’entrée du comparateur.



Condition du comparateur :
Paramètres : « Baril vide » < « A ».
Sortie : « Baril vide ».

Condition du calculateur :
Entrée : « Baril vide » x 5.
Sortie : « A ».

Nous avons le calculateur qui émettra la valeur 5 en sortie lorsqu’il recevra « Baril vide ». Il ne l’émet plus s’il ne reçoit plus son signal d’entrée.

Donc notre comparateur fonctionne normalement lorsqu’il reçoit « Baril vide » car il peut comparer comme il le faisait au départ la valeur 5 (valeur du signal « A »). Par contre à la coupure du signal « Baril vide », il ne reçoit plus « A » = 5. Donc il ne peut plus comparer ce qui a pour effet de le désactiver totalement. Il ne se fige plus.

Voilà donc le principe d’une tempo avec reset.

Nous allons nous servir de ce système simple. Et l’inclure dans ce que nous avons besoin. Bien entendu la valeur 5 que j’ai pris s’exprime en tic (60 tics = 1 seconde) pour le calcul dans la tempo. Ce qui est bien trop court pour le voyage d’un train. Nous la changerons donc.

Il nous faut à présent tiré les premières valeurs de cette temporisation. Nous voulons que le train parte tout de suite. Pas au bout de 10 secondes.

Pour ce faire nous allons ajouter à la sortie du comparateur un autre comparateur et relier la sortie de ce nouveau comparateur à l’arrêt de train.



Condition calculateur :
Entrée : « Baril vide » x 1800 (équivaut à 30 secondes 60 tic x 30 sec).
Sortie : « A ».

Condition permier comparateur :
Paramètres : « Baril vide » < « A ».
Sortie : « Baril vide ».

Condition second comparateur :
Paramètres : « Baril vide » < « 10 ».
Sortie : « Baril vide ».

A la réception du signal « Baril vide », le calculateur émttra « A » valeur 1800.
A la reception de « Baril vide » et de « A », la tempo commencera. 1, 2, 3, etc.. (jusqu’à 1799).
Le second comparateur émettra seulement les premières valeur de « Baril vide » à l’arrêt de train.

Notre train aura 30 secondes pour aller au quai de déchargement de ces barils. A son arrivé, le signal « Baril vide » disparaitra qui effacera la temporisation.

2.2.5. Passage à niveau.
Dans « Factorio », il n’y a ni pont, ni tunnel. Nous sommes donc obligés de traverser les voies. Cependant cela reste risqué voir mortel si nous ne prêtons pas attention à la couleur des signaux.
Nous pouvons empêcher par la logique que cela arrive et ainsi traverser en toute sécurité.
Nous voulons que le train s’arrête à notre passage et uniquement cela.

Nous allons commencer par installer quatre signaux ferroviaires.



Les signaux ferroviaires (1) seront ceux qui devront arrêter les trains pour notre passage.
Les signaux (2) sont pour laisser la possibilité aux trains de circuler dans les deux sens.

Nous allons ensuite installer nos murs, portes et deux poteaux.



Nous allons ensuite connecter les deux signaux ferroviaires entre eux par l’intermédiaire des deux poteaux ainsi qu’un montant de chaque porte.




Mettons à présent les conditions des deux portes.



Mode de fonctionnement :
« Ouvrir la porte » décoché.
« Lire le capteur » coché.

Signal de sortie :
« G » (par défaut).

Pour finir il nous reste à mettre les conditions des signaux ferroviaires.



Mode de fonctionnement :
« Passer au rouge » coché.
« Lire la couleur du feu » décoché.

Condition d’arrêt :
« G » > 0.

La porte n’émettra « G » qu’à notre arrivé. Les signaux ferroviaires passeront donc au rouge pour arrêter les trains s’il y en vient.

Sur la photo qui suit le même système sur deux voies de passage.



Nous pouvons aussi mettre des portes sur les voies pour nous empêcher d’y accéder par mégarde.
Elles devront donc se fermer si nous allons sur le passage à niveau.



Mode de fonctionnement :
« Ouvrir la porte » coché.
« Lire le capteur » décoché.

Condition d’ouverture :
« G » = 0.
3. Le réseau logistique.
Le réseau logistique est le troisième réseau de « Factorio ».

D’après une définition que j’ai trouvée : le réseau logistique est l’ensemble des opérations successives de transports, manutentions et stockages intermédiaires mises en œuvre pour assurer l’acheminement des marchandises du lieu fabrication au lieu de consommation finale.
En somme un convoyeur, un bras robotisé, un coffre font partie du réseau logistique.

Nous allons voir que ce réseau s’organise, travaille lui aussi avec des informations. Ces dernières n’ont cependant pas besoin de câble pour communiquer. Elles transmettent leurs signaux par ondes. Bien entendu puisqu’il s’agit de transport de marchandise, nous aurons accès qu’aux signaux les concernant. Exit les signaux chiffrés, alphabétiques, de couleur. Nous ne pourrons d’autant plus utiliser des comparateurs externes ou des calculateurs.

Nous verrons que le réseau logistique utilise aussi des appareils intelligents
Pour connecter un appareil intelligent au réseau logistique, il faut faire un clic sur l’icône correspondant.



Une fois fait, nous aurons la possibilité de connecter l’appareil au réseau en cochant la case « Connecter ».
Des ondes apparaitront sur l’appareil pour montrer visuellement qu’il est connecté.

Un nouveau menu apparaitra. Il est le même pour tous. Une comparaison simple.



Nous apprendrons les connaissances de bases du réseau logistique afin de pouvoir en comprendre le fonctionnement.
Nous verrons aussi les différents appareils intelligents avec lequel il travaille.
3.1. Les connaissances de base.
Bien que la définition du réseau logistique doive s’étendre au moyen de transport en tout genre, nous allons donner un autre sens au réseau logistique.

Nous allons parler de lui par le moyen qu’il possède pour communiquer avec ses appareils intelligents et les moyens autres que les convoyeurs pour transporter des marchandises.

Pour communiquer le réseau a besoin de base, d’antenne. Ceux sont les robotports.

Qu’est-ce qu’un « Roboport » ? Quels sont ces fonctions ?
3.1.1. Le robotport.


Le robotport est avant tout le lieu de repos des robots logistiques et les robots de construction qu’il contrôle sous son réseau. Il peut contenir jusqu’à 7 piles de robots et 7 piles de kit de réparation. Il possède aussi quatre antennes pour les recharger et une tournoyante pour émettre.

Il émet dans un premier rayon orange où les robots logistiques et les appareils intelligents peuvent interagir. Il émet en outre un second rayon plus large où les robots de constructions peuvent interagir.

Pour étendre le réseau nous aurons besoin que le rayon orange de deux robotports se touche. Nous verrons apparaitre des pointillés allant de l’un à l’autre pour signaler leur connexion.

Les robotports ont besoin de signaux pour travailler. Ceux sont les coffres logistiques qui lui enverront ces signaux.

Les robotports permettent le transport de marchandise d’un point « A » à un point « B » par voie aérienne via les robots logistiques.

Pour cela différents coffres sont à leur dispositions dont l’explication est obligatoire pour comprendre leur fonctionnement. Tous ses coffres auront 48 emplacements.

Nous verrons donc les différents robots et coffres disponibles pour le réseau logistique.
3.1.2. Les robots.
Il existe deux types de robot sous le contrôle des robotports. Chacun ayant leur fonction.

Les robots logistiques.


Ces robots servent uniquement de moyen de transport aérien des marchandises. Ils servent donc pour l’interaction des coffres logistiques entre eux.

Les robots de construction.


Ces robots servent pour la construction des images virtuelles. Il existe deux types images virtuelles. Une permanente laissé par le joueur en appliquant un plan ou en faisant un « Shift + clic gauche » d’une installation sur le terrain. Une temporaire laissé par la destruction d’une installation.

Ils servent aussi de réparateur de toutes installations dans son rayon d’action à condition d’avoir à disposition des kits de réparation.

Ces robots peuvent être inclus dans l’inventaire pour une utilisation via le robotport personnel afin d’être toujours disponible pour le joueur.
3.1.3. les coffres logistiques.
Le coffre de demande (coffre bleu).



C’est le point final pour qu’une marchandise soit utilisée dans une usine d’assemblage. Il émettra une demande sur le réseau logistique visible uniquement par les robots logistiques. Ces derniers feront tout pour satisfaire ces besoins. Nous devons configurer ce coffre pour créer la demande. Nous pouvons aussi en le reliant à un réseau logique créer cette demande comme expliquer dans le chapitre « Réseau logistique – Appareil intelligent ».

Il recevra toute marchandise demandé de tous les coffres logistique disponible sous le réseau dont il appartient.

Attention : Ce coffre n’émet pas son stock sur le réseau logistique.

Le coffre d’approvisionnement passif (coffre rouge).


Ce coffre fournit uniquement le coffre de demande. Il peut servir de stock. Cependant il sera utilisé pour de petites productions. On dit de lui qu’il est passif car il n’interagit avec aucun coffre que celui de demande.

Il émet son stock sur le réseau logistique.

Le coffre d’approvisionnement actif (coffre mauve).



Ce coffre a pour but de se vider dans son intégralité. Il utilisera en priorité le coffre de demande si ce dernier lui fait appel. En second, il se videra dans les coffres de stockage. On dit de lui qu’il est actif car il interagit avec deux coffres. Il servira donc pour de grosse production.

Il émet son stock sur le réseau logistique.

Le coffre de stockage (coffre jaune).



Ce coffre est fait pour le stockage de grosse quantité. Il sert aussi de poubelle pour le joueur lors du déchargement auto de l’inventaire de certaine marchandise du joueur.

S’il y a plusieurs coffres logistiques de stockage, les robots logistiques s’arrangeront pour mettre une seule marchandise par coffre jusqu’à ce que cela ne soit plus possible.
Ce coffre reçoit ses marchandises des coffres approvisionnements actifs et se vide dans les coffres de demande si possible.

Il est très utile pour le stockage de très grosse production.

Il émet son stock sur le réseau logistique.

Voici un récapitulatif des actions entre les coffres.



Les flèches bleues représentent l’interaction des coffres entre eux.
La flèche verte la priorité d’un coffre par rapport à un autre.

Tous ces transports de marchandise ne seraient pas possible sans les robots logistiques.
3.1.4. Les appareils intelligents.
Je ne ferai pas d’explication sur chaque appareil intelligent du réseau logistique car ils possèdent tous la même interface d’interactivité. Une liste suffira donc amplement.



Veuillez tout de même vous rappeler que l’on perd beaucoup de fonctionnalité comparé au réseau logique. Seul des comparaisons seront possibles.
Liste des appareils :
La pompe côtière.
La petite pompe.
Le commutateur électrique.
La lampe (attention plus de couleur possible).
Les convoyeurs.
Les bras robotisés.
Coffres logistiques.
Robotport.

Ces appareils pourront travailler ensemble afin de créer des limites de production (Les coffres logistiques envoyant les signaux permettant de créer les limites aux différents appareils intelligents).
3.2. Réseau logique et logistique.
Nous n’aurons pas beaucoup d’interaction possible entre eux.

Une connexion d’un câble logique à un robotport sera véritablement la seule interaction utile mais nous aurons deux modes de fonctionnement. Soit « Lire le contenu du réseau logistique ». Soit « Lire le compte de robots ». Nous pourrons donc avoir soit les stocks des coffres logistiques ou le contrôle des effectifs des robots.

Nous pourrons aussi avoir des limites de production sans utiliser un seul câble logique.
3.2.1. Les stocks.


En mode « Lire le contenu du réseau logistique » Nous pourrons recevoir l’inventaire de tous les coffres logistiques présent sous le réseau logistique du robotport et de tous ceux y étant connecté. Ceci nous sera utile pour nous éviter d’avoir des câbles logique parcourant toute une usine et n’avoir en contre parti qu’une seule connexion.



Nous pourrons aussi inclure ces stocks sur le réseau principal sans aucun problème d’influence car le réseau logique n’intervient pas sur les stocks du réseau logistique. A l’inverse, il ne s’agit que de stock sur le réseau logique.
3.2.2. Contrôle des effectifs.


En mode « Lire le compte des robot », nous aurons un nouveau menu. Nous y verrons les différents comptes des robots. Les totaux et les disponibles. Un robot en mission sera toujours dans les totaux mais plus disponibles.

Nous pouvons avec cela créer une alerte des comptes sur le canal rouge mais nous pouvons surtout prendre le contrôle des effectifs des robotports. Ceci peut nous être très utile.

Nous pouvons installer des robotports pour la réparation, remplacement des installations mais comme ces dernières, les robots de construction peuvent subir des dégâts voir même être détruit à leur tour. Si nous voulons que cela perdure dans le temps, il nous faut un remplacement des robots.

De même, nous pouvons avoir un grand besoin de robot de transport pour une grosse quantité de marchandise en un temps limité mais nous désirons peut-être qu’un seul robotport.

Nous allons voir comment réaliser ce montage.


Contrôle des effectifs des robots de construction.

Dans un premier temps, il nous faut un bras robotisé qui introduise des robots dans le robotport. Il nous faut aussi un bras robotisé pour retirer l’excédent de robot s’il y a mais celui-ci ne doit pas retirer les robots logistiques s’il y a. Il faut aussi que les robots de construction retirés puissent être introduits de nouveau si le besoin est.

Nous allons donc faire le même montage que sur la photo qui suit.



Nous n’oublierons pas le filtre du bras robotisé filtrable, soit les robots de construction.

Nous allons ensuite relier les deux bras touchant le robotport par un câble logique et mettre les conditions logiques aux bras robotisés.



Bras robotisé filtrable :
Filtre : Robot de construction.
Condition d’activation : « T » > 40.

Bras robotisé (bleu) :
Condition d’activation : « T » < 35.

Je vous rappelle que « T » est le compte total des robots de construction émit par le robotport.
Nous avons une diférence entre les deux valeurs car nous aurons avec les technologie débloquer le bonus de capacité des bras robotisés. Ils ne prendront donc plus une marchandise mais plusieurs. Nous nous assurons donc d’une marge entre ces deux chiffres pour éviter une boucle continuelle entre l’addition et la soustraction de robot du robotport.

Nous pouvons changer le coffre d’insertion par un coffre logistique de demande si nous le désirons.




Contrôle des effectifs des robots logistiques.

Nous allons faire le même montage que précédement mais en changeant les signaux et filtres.
Pour cette explications, je garderai le précédent système que nous venons d’installer. Il sera une démonstration que nous pouvons avoir les deux sur un seul et même robotport.




Bras robotisé fitrable :
Filtre : Robot logistique.
Condition d’activation : « X » > 100.

Bras robotisé (bleu) :
Condition d’activation : « X » < 95.

Nous avons utilisé « X» le signal du compte de robot logistique disponible. Nous aurons donc une insertion lorsque « X » sera inférieur à 95. Ce qui aura pour effet d’avoir toujours un nombre de robot disponbible pour le transport de marchandise. A leur retour de mission, leur nombre dépassera la limite fixé sur le bras robotisé filtrable qui retira l’excedent.
Nous avons conservé une marge pour éviter la boucle d’insertion, excedent.

Si nous ne voulions pas cependant du boost offert mais juste d’un contrôle des effectifs simple, nous aurions pris le signal « Y » au lieu de « X ».
3.2.3. Limite de production sans fil.
Nous avons vu précédemment qu’il été possible de faire des limites de production par les câbles logiques. Nous pouvons aussi le faire sans câble.

Nous aurons besoin que toutes les productions de marchandises finissent dans un coffre d’approvisionnement ou de stockage. Ainsi nous pourrons sur le réseau logistique avoir un visuel des marchandises que nous voulons limiter. Il nous suffira ensuite de contrôler les bras robotisés ou les convoyeurs suivant les besoins. Bien entendu, nous ne pouvons inclure dans ce système l’émetteur de constante comme dans les limites de production logique.
Je n’expliquerai pas toutes les possibilités possibles de contrôle mais nous savons déjà que nous n’avons que la comparaison de marchandise dans la condition du réseau logistique.

Voici donc juste un exemple de contrôle de production.



Sur cette photo, nous désirons avoir un stock de seulement 20 modules de vitesse.
4. Les affichages
Dans cette partie, nous allons voir les possibilités des combinateurs dans les affichages. Nous ferons des systèmes simples comme des jauges et d’autre plus complexe comme des affichages digitaux de stocks de marchandise.

Pour des affichages en couleur, Il nous faudra retenir les couleurs dominantes.



Les couleurs dominantes étant celle situé à gauche par rapport aux autres. Nous n’oublierons pas que les couleurs grise et noire ne sont pas des couleurs pour un affichage. Nous ne les utiliserons donc pas.
4.1. Les jauges.
Pour cet exemple nous ferons une jauge sur la charge des accumulateurs.
Nous savons que la charge d’un accumulateur à son maximum est 100.
Nous allons faire deux systèmes de jauges différentes.
Le premier dont les couleurs seront fixes suivant la valeur, la jauge fixe.
Le second dont les couleurs seront dynamiques suivant la valeur, la jauge dynamique.
4.1.1. La jauge fixe.
D’un accumulateur, nous allons relier 3 comparateurs en parallèle et 10 lampes comme sur la photo qui suit.



Pour la condition des comparateurs nous aurons :



Paramètres :
« Chaque » > 0. (« G » signal par défaut d’un accumulateur).

Sortie :
« Couleur » (vert, jaune rouge).
« Compteur d’entrée » coché.

Nous aurons donc chaque comparateur qui transformera son signal d’entrée en la couleur demandé tout en gardant la valeur.

Nous allons ensuite connecter les trois première lampes au comparateur de signal « Rouge ».
Les trois suivantes au comparateur de signal « Jaune ». Les quatre dernières au comparateur de signal « Vert ».



Il nous suffit ensuite de mettre les conditions aux lampes. Elles auront toutes « utiliser les couleurs » de coché. Dans l’ordre de haut en bas.

« Tout » > 90.
« Tout » > 80.
« Tout » > 70.
« Tout » > 60.
« Tout » > 50.
« Tout » > 40.
« Tout » > 30.
« Tout » > 20.
« Tout » > 10.
« Tout » > 0.



Nous aurons donc suivant la valeur de l’accumulateur les affichages suivant :

4.1.2. la jauge dynamique.
Pour la jauge dynamique nous allons de nouveau installer 3 comparateurs en parallèle et 10 lampes.
Nous garderons les conditions d’activations des lampes. Cependant toutes les lampes et les sorties des comparateurs seront connecter ensemble.



Nous ne changerons que les conditions des trois comparateurs.



Nous avons choisi pour le signal « Vert » en sortie, « Chaque » > 60 pour le changement de couleur en vert au-delà de 60.
Nous avons choisi pour le signal « Rouge» en sortie, « Chaque » < 30 pour le changement de couleur au dessous de 30.
Nous avons choisi pour le signal « Jaune » en sortie, « Chaque » > 0. Le jaune n’étant pas une couleur dominante par rapport aux deux autres, il n’y aura qu’en absence du vert et rouge que le jaune pourra être affiché.

4.2. Les affichages digitaux.
L’affichage digital est un dispositif de visualisation sur un écran. Nous n’utiliserons ici que l’affichage numéraire.

Nous devons pour ce faire connaitre la base de l’affichage d’un seul chiffre.
Nous ferons ensuite une horloge puis l’affichage de stock.

Il existe bien d’autre affichage certain plus facile et d’autre bien plus complexe mais nous ne les verrons pas dans ce guide.
4.2.1. Les connaissances de base.
L’affichage d’un chiffre est composé de segment.

Nous allons commencer par installer 45 lampes soit 5 colonnes sur 9 rangs que nous allons toutes relier par un câble vert (plus discret).



Nota : Nous n’avons pas besoin de toutes les relier. Seules les lampes extérieures et le rang central sont importants. Nous avons juste fait d’un point de vue esthétique.

Nous allons ensuite mettre les conditions aux lampes comme sur le dessin qui suit.



Pour toutes « utiliser les couleurs » sera coché.

Paramètre :
« A » > 0.
« B » > 0.
« C » > 0.
« D » > 0.
« E » > 0.
Etc…

Nous allons ensuite installer deux lignes d’émetteur de constante et deux lignes de comparateur comme sur cette photo et relier l’entrée de tous les comparateurs avec un câble rouge. Les sorties de ces comparateurs seront reliées toutes ensembles et au câbles des lampes.



Nous relions pour finir chaque émetteur de constante à son comparateur qui lui fait face par un câble vert.



Nous allons passer à présent mettre les conditions des comparateurs.


jusqu’à


Chaque comparateur aura le même paramètre. Seul la valeur changera à chaque. Nous pourrons donc avoir notre affichage des 10 chiffres (0 à 9).

Pour visualiser les chiffres durant leur affichage et pour être sur que nous n’avons pas fait d’erreur, nous allons insatller un émetteur constant que nous allons relier par un câble rouge à l’entrée des comparateurs.



Et émetteur de constante émettra « 1 ». Lorsque nous voudrons nous occuper du chiffre 1, l’émetteur constant devra émettre « 1 » valeur 1. Lorsque nous voudrons nous occuper du chiffre 2, il devra émettre « 1 » valeur 2. Etc…



Cela nous permettra de visualiser directement nos chiffres afin de faire les réglages des autres émetteurs.

Afin d’afficher le chiffre, l’émetteurs de constante correspondant au chiffre devra émettre le signal de tous les segments du chiffre.

Nous aurons donc pour l’émetteur de constante du chiffre :
0 : « A », « B », « C », « E », « F », « G », « J », « K ».
1 : « C », « F », « I », « K », « M ».
2: « A », « C », « D », « E », « G ».
3: « A », « C », « D », F », « G ».
4: « B », « C », « D », « F », « H », « I », « K », « M ».
5: « A », « B », « D », « F », « G ».
6: « A », « B », « D », « E », « F », « G », « J ».
7: « A », « C », « F », « H », « I », « K », « M ».
8: « A », « B », "D", « C », « E », « F », « G ».
9: « A », « B », "D" , « C », « F », « G », « K ».

Sur la photo qui suit le chiffre 9.



Nous avons terminé avec l’affichage d’un chiffre.

4.2.2. L'affichage des stocks.
Pour comprendre le système d’affichage d’un nombre, je vais faire un mini exemple.
Prenons 87. Ce nombre « N » est composé de dizaine « D » et d’unité « U ».
Nous devons donc avoir deux affichages.

Cependant comment faire pour afficher cela ?

Pour afficher les dizaines « D », il nous faudrait pouvoir diviser 87 par 10. Nous aurions 8,7. De plus nous savons que les chiffres derrière une virgule ne sont pas pris en compte donc nous aurons bien « D » = 8.
Ce que nous pouvons afficher.

Pour afficher les unités, il nous faudrait pouvoir retirer 80 de 87. Nous aurions donc « U » = 7.
Qu’est-ce que 80 dans notre système « D » x 10 = « S » (S pour soustraction)

Nous aurons donc un calculateur qui servira à extraire l’affichage « D »
Entrée : « N » / 10.
Sortie : « D ».

Ensuite nous devons créer notre nombre de soustraction « S » avec un autre calculateur.
Entrée : « D » x 10.
Sortie : « S ».

Un dernier calculateur pour l’affichage « U ».
Entrée : « N » - « S ».
Sortie : « U ».

Nous avons donc réussi à faire l’affichage de deux chiffres.

Voyons à présent ce principe pour l’affichage d’un réservoir pétrolier soit 2500 unités.
Nous ferons par la suite un affichage dynamique afin d’en avoir qu’un seul pour tous les réservoirs.
Nous verrons aussi comment faire un affichage que nous changerons manuellement suivant nos besoins.
Pour commencer nous allons placer nos 4 affichages digitaux.



Pour les besoins de cette démonstration, nous placerons un émetteur de constante pour symboliser un réservoir de pétrole lourd remplit à 2498 unités.



Nous allons le connecter à l’entrée d’un calculateur avec un câble vert. La sortie du calculateur sera connectée à l’entrée commune de nos premiers comparateurs avec un câble rouge.



Entrée : « Chaque » / 1000.
Sortie : « 1 ».

Il aura pour but d’extraire le chiffre des millièmes de notre nombre.

Nous devons à présent extraire les millièmes de notre nombre. Pour cela, il nous faut deux calculateurs. Installons le premier. Son entrée viendra du câble rouge du précédent.



Entrée : « 1 » x 1000.
Sortie : « 1 ».

Il aura pour but de redonner au chiffre millième extrait la valeur de millième réel afin de pouvoir le soustraire à la prochaine étape.

A présent nous allons installer notre deuxième calculateur, celui qui enlèvera les millièmes sur de la valeur de notre stock. Il sera relier avec un câble rouge de son entrée à la sortie du présent calculateur mais sera au câble vert sur quel nous avons la valeur de notre stock.



Entrée : « Chaque » - 1.
Sortie : « Chaque ».

Nous aurons en sortie du calculateur notre valeur de stock – Son chiffre de millième x 1000.
Nous avons donc 2498 – 2x 1000 = 498 à la sortie dans mon exemple de mon pétrole lourd.

Il nous reste donc 3 affichages.

Nous allons afficher le chiffre des centaines. Comme nous avons vu précédemment, il nous est facile d’extraire ce dernier.

Installons un autre calculateur. Il sera relié à son entrée par un câble vert venant de la sortie du précédent calculateur. Pour la sortie de celui que nous mettons en place sera reliée à l’affichage des centaines, l’entrée commune par le câble rouge.



Entrée : « Chaque » / 100.
Sortie : « Chaque ».

Nous venons de faire le calcul pour réduire le nombre des centaines à un seul chiffre que nous insérons dans l’affichage des centaines.

Nous avons donc « 1 » = chiffre des centaines.
Dans mon exemple « pétrole lourd » « 1 » serait égale à 4.

A présent rendons au chiffre des centaines leur vraie valeur afin de pouvoir les soustraire à la valeur qu’il nous reste à afficher soit 498.

Nous plaçons un calculateur relié à son entrée par la sortie du calculateur précédent avec un câble rouge.



Entrée : « 1 » x 100.
Sortie : « 1 ».

Nous avons à présent rendu à notre signal « 1 » la vraie valeur des centaines de notre affichage.
Dans mon exemple « 1 » = 400.

Je peux donc le soustraire à ce qu’il nous reste à afficher soit 498.

Nous installons un calculateur qui sera relié avec un câble rouge à son entrée à la sortie du précédent calculateur et relier aussi avec un câble vert à l‘entrée du nouveau calculateur à la sortie de l’affichage des stocks.



Entrée : « Chaque » - « 1 ».
Sortie « Chaque ».

Nous aurons donc dans mon exemple 498 – 400.

Il nous reste donc 98 à afficher à présent. Nous avons déjà fait les 2400 précédents.

Installons un calculateur afin d’afficher les dizaines.
Il sera relié son entrée à la sortie de notre précédent calculateur par un câble rouge et sa sortie par un autre câble rouge au câble commun de l’entrée de l’affichage est dizaines.



Entrée : « Chaque » / 10.
Sortie : « 1 ».

Nous venons d’extrait par la division le chiffre des dizaines.
Donc « 1 » = 9.

Nous devons à présent à présent soustraire la vraie valeur des dizaines pour enfin avoir l’affichage des unités.

Nous installons donc un calculateur qui devra rendre à notre signal « 1 » sa vraie valeur.
Il sera relié à son entrée à la sortie de notre précédent calculateur.



Entrée : « 1 » x 10.
Sortie : « 1 ».

Dans notre exemple « 1 » = 9 x 10 en entrée donc « 1 » = 90.

Nous pouvons à présent retirer les dizaines de notre stock restant à afficher.
Pour cela un dernier calculateur sera installer et relier avec un câble rouge à son entrée à la sortie de notre précédent calculateur mais relier aussi un câble vert à son entrée à la sortie du calculateur du reste de l’affichage.
La sortie du nouveau calculateur sera reliée par un câble rouge à l’entrée commune de l’affichage des unités.




Entrée : « Chaque » - « 1 ».
Sortie : « 1 ».

Nous avons à présent de mon exemple 98 – 90 = 8 = « 1 ».
Notre dernier affichage.

4.2.3. Affichage digital dynamique.
Dans cette partie nous allons afficher nos stocks des différents réservoirs pétroliers. Chaque liquide aura sa propre couleur. Ainsi avec l’aide d’une temporisation, nous pourrons faire défiler le type du liquide par une identification simple à sa couleur.

Nous allons donner aux liquides leur couleur.
Lubrifiant : « Vert ».
Pétrole lourd : « Rouge ».
Pétrole léger : « Jaune ».
Gaz : « Blanc ».

Nous allons ensuite créer notre temporisation.
Relions un émetteur de constante avec un câble rouge à l’entrée mais à la sortie d’un comparateur. Ici le but ne sera pas envoyer les signaux de l’émetteur à la fois en entrée du comparateur mais plutôt à faire des signaux du comparateur une boucle.



L’émetteur de constante :
« T » = 1.

Le comparateur.
Paramètres :
« T » < 1600.
Sortie : « T ».

L’explication. Le signal « T » qui entre dans le comparateur et l’addition du signal « T » de l’émetteur et du signal qui sort de ce comparateur. Donc à chaque boucle le chiffre croit de 1 à chaque fois.

Ici à cette limite de 1600, le signal « T » ne sera plus émis par le comparateur mais l’émetteur amorcera un nouveau cycle.

Ce signal « T » va donc croitre invariablement jusqu’à 1600.
Divisons 1600 par 4. Nous avons donc 400.

Nous allons donc pourvoir répartir ces signaux « T » en 4 sections.

Prenons nos liquides.

Lubrifiant : « Vert ». 0 < « T » < 400. Soit « T » < 400.
Pétrole lourd : « Rouge ». 400 < « T » < 800.
Pétrole léger : « Jaune ». 800 < « T » < 1200.
Gaz : « Blanc ». 1200 < « T » < 1600. Soit « T » >1200.

Nous allons installer autant de comparateur que de condition et relier la sortie de notre temporisation à l’entrée de tous les comparateurs.



Paramètres :
« T » > 1200.
Sortie :
« 1 » (case 1 coché).



Ici nous avons 800 < « T » < 1200.

Premier comparateur :
Paramètres :
« T » < 1200.
Sortie « 2 » (case 1 coché).

Second Comparateur :
Paramètres :
« T » > 800.
Sortie « 3 » (case 1 coché).

Nous devons avoir deux conditions en même Pour que le signal soit vrai. Vous allons donc installer un calculateur relier à son entrée avec un câble roue les sorties de « 2 » et « 3 ».



Entrée : « 2 » x « 3 ».
Sortie : « 2 ».

Le signal « 2 » ne sera émis que pout « T » compris entre 800 et 1200.

A présent passons au suivant.



Ici nous avons « Rouge » si 400 < « T » < 800.

Premier comparateur :
Paramètres :
« T » < 800.
Sortie : « 4 » (case 1 coché).

Second comprarateur :
Paramètres :
« T » > 400.
Sortie : « 6 » (case 1 coché).

Nous installons un calculateur qui sera relié à son entrée par un câble rouge venant de « 4 » et « 6 ».



Entrée : « 4 » x « 6 ».
Sortie : « 4 ».

Pour finir.



Paramètres :
« Vert » < 400.
Sortie : « 7 » (case 1 coché).

Installons à présent quatre calculateurs dont nous relions toutes leurs entrées avec un câble vert par les sorties de comparateurs de « 1 », « 7 » et les sorties de calcualteurs « 2 » et « 4 ».

Nota : Ce cable sera aussi l’entrée d’information du stock de nos réservoirs.



Les conditions des calculateurs.



Entrée : « Signal chiffré » (1,2,4,7) x « le liquide que nous voulons afficher pour cette couleur ».
Sortie : « Couleur ».

La sortie commune de ces calcualteurs sera prévu en remplacement pour des 4 signaux pour notre afficheur (flèches rouge 2).

Nous devrons aussi approter un changement dans l’afficheur.
Nous installons 4 comparateurs soit 1 par afficheur.



Nous allons conntecter le câble vert (flèche verte) des signaux de couleur sortant de système tempo à l’entrée de tous les comparateurs. La sortie de chaque comprarateur sera connecter par un fil rouge à son afficheur respectif.

Condition de tous les comparateurs.



Paramètres : « Chaque » > 0.
Sortie : « Chaque ».

Ils enverront la couleur qui doit être affiché à notre afficheur.

Astuce : La vitesse du défilement se règle avec l’émetteur de constant « T ». Plus la valeur de « T » sera grande plus, le défilement sera rapide.
4.2.4. Affichage digital statique.
Nous pourrions avoir besoin d’afficher nos stocks. Cependant nous n’avons pas besoin de connaitre en tout temps toutes les stocks. Nous pouvons faire un sélectionneur manuel.
Il sera à nous d’aller changer l’afficheur par un moyen simple.

Pour cela, nous allons mettre autant de coffre que de ce que nous voulons afficher. Nous mettrons une marchandise dans un coffre puis une autre dans le suivant. Etc…
Ils seront là uniquement pour nous rappeler quelle marchandise contrôle cette ligne.



Devant chaque coffre autant de lampe et d’émetteur de constante puis des calculateurs.

Nous relions ensuite chaque lampe à son émetteur de constante et à l’entrée de son calculateur respectif par un câble rouge. Nous relions un câble vert tous les entrées des calculateurs. Il sera le câble d’arrivée des stocks de notre réseau (principal flèche vert 1).
Nous relions aussi les sorties de calculateurs entre eux avec un autre câble vert. Il sera la sortie des signaux pour notre afficheur (flèche rouge 2).



Nous mettrons la même condition à toutes les lampes. Soit « N’importe quoi » > 0.



Il nous suffit ensuite d’attribuer un signal chiffré à l’émetteur de constante et de le reporter dans les conditions du calculateur avec la marchandise.



Nous faisions la même chose sur tous les calculateurs et émetteur de constante en diférenciant bien le signal émis par chaque émetteur.



Nous avons à présent tous les affichages en même temps. Nous n’en voulons qu’un seul.
Nous allons éteindre les émetteurs de constante en les basculant sur « Inactif » et ne laissez allumer que celui que nous voulons pour notre afficheur.



La lampe allumé sera le témoin de notre affichage.

Astuce : Lorsqu’il s’agit d’une marchandise, nous mettons un coffre avec cette marchandise comme point de repère. Ce qui n’est pas possible avec un liquide. Un émetteur de constante fera illusion.
4.2.5. L'horloge.
Entre le temps réel et le temps de jeu, nous avons une différence.
Le temps jeu se calcule 24 heures x 60 minutes, x 60 secondes x 60 tics pour obtenir notre temps réel en jeu, soit 5 184 000 tics.
Cependant ce nombre de tic va varier en fonction de nos FPS alors que le temps réel lui est invariable.
Il nous sert donc à rien de créer l’horloge réelle temps car elle sera faussée.

Par contre créer l’horloge de la journée « factorienne » est plus intéressant.

Elle est basée sur 25 000 tics à savoir :

Journée : 12 500 tics.
Crépuscule : 5 000 tics.
Nuit : 2 500 tics.
Aube : 5 000 tics.

Nous allons considérer que le temps tic sera nos secondes terrestre mais qu’une minute factorienne sera égale à 50 tics et 50 minutes factorienne égale à 1h factorienne.

En divisant le temps par 2500, nous avons :
Journée : 5.
Crépuscule : 2.
Nuit : 1.
Aube : 2.

Nous avons donc une horloge sur 10h.

Je vous laisse à présent faire de vous-même un affichage par jauge ou chiffre avec ces informations.
J’ai opté pour une jauge personnellement.

Vous avez toutes les connaissances.
Amusez-vous bien.